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Géplu.
Ah ! Notre Frère Yonnel reconnaissant d’un Frère révolutionnaire, c’est appréciable.
🙂
En passant, la bibliothèque de Châteauroux se nomme (ou se nommait jusqu’il y a peu) Bibliothèque Jean-Louis Bourdillon.
Ce négociant lettré et amateur d’art, 1782-1856 et qui ne m’est pas inconnu, légua par testament quelques 2500 ouvrages, manuscrits et objets d’art à la ville de Châteauroux, dont des manuscrits enluminés : La Chanson de Roland (13e siècle), Le rouleau de prières latines à la Vierge (14e siècle), Le Bréviaire à l’usage de Paris (15e siècle) et un incunable, Le Roman de Tristan (15e siècle).
Nul doute que les hommes devaient se connaitre.
Et la Bibliothèque de Châteauroux s’appelle… la Médiathèque de Châteauroux !
Sic transit gloria mundi…
Elle conserve, grâce notamment au legs de Jean-Louis Bourdillon, de nombreux manuscrits médiévaux dont le plus ancien texte de la « Chanson de Roland » conservé en France (vers 1270) et trois manuscrits du XVe siècle, « Le Chevalier de La Tour Landry », les « Grandes chroniques de France du religieux de Saint-Denis » et surtout « le Bréviaire à l’usage du diocèse de Paris », dit « le Bréviaire parisien ». La bibliothèque possède aussi un rouleau de vélin long de 1,5 m sur 7 cm de large contenant des prières en latin dont les Psaumes (XVIe siècle). Parmi les incunables figure un « Tristan, chevalier de la Table ronde » imprimé par Antoine Vérard vers 1496.
Le général Bertrand louveteau ?
Divers symboles maçonniques comme celui sur le parapet de la terrasse du château nous laissent entendre une appartenance à la Franc-Maçonnerie du grand-père sans doute dans une Loge à l’Orient de Lyon où il est enterré à moins que ce ne soit un rajout du père du général, lui aussi, Frère dans la loge castelroussine « Les Amis Réunis », Loge fondée dès 1775.
Dans cette Respectable Loge, à la matricule, le Frère Jérôme Legrand (1746-1817), membre du Tiers-Etat, qui aura un rôle considérable sous la Révolution, en transformant les États Généraux en Assemblée nationale.