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Géplu.
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A mon humble avis, les Macons tenteront pendant longtemps de décoder ce chef d’oeuvre de la Maçonnerie, tant il recèle des trésors inouïs. Plus 1 étoile pour ses index tres pratiques.
On aura du mal à vous croire ERIC JACQUES. Après vous avoir lu et lu Pierre-Philippe Baudel, car il permet de se rendre compte (et les écrits restent) que vous apportez la seule rancœur et lui le simple bonheur.
Il deviendrai presque amusant avec le Post 21 d’ERIC JACQUES, s’il n’était pas emprunt d’une manifeste volonté de nuire, en lieu et place de donner un avis sincère de sa lecture de « Verbum Diminum », puisque tel est un peu la raison d’être de la présentation par Géplu de mon livre. Au reste, si j’ai pu y faire un séjour, NON, je ne suis pas né au sein de l’organisation (paramaçonnique ?) anticonstitutionnelle « Grande Loge Française de Misraïm », et ses Instances seraient bien en peine de produire un quelconque document attestant de mon initiation comme Apprenti en son sein.
Quand le propos provient d’un homme condamné pour ses dérives par l’ensemble de l’Institution maçonnique, il prêtera sans aucun doute à sourire. Et, je pourrais encore rétorquer à ERIC JACQUES que nous sommes deux à bien nous connaître, mais alors qu’il n’est en rien une réalité, tellement celui-ci est très éloigné de mon parcours maçonnique, sans que je ne méconnaisse cependant la manière et les endroits où il aura pu prendre l’ascenseur pour obtenir indûment ses degrés. N’en ayons tous pour preuve que son comportement ici (avec ses mots à mon intention), et, sans même m’avoir lu. Or, il lui aurait appris.
Merci Monsieur Baudel pour cette réponse qui conforte en tout point mon scepticisme. J’imagine que vous croisez les doigts pour que les archives de la Grande Loge Française de Misraïm qui vous a vu naitre, subissent le même sort que la bibliothèque d’Alexandrie…
Je n’ai pas lu l’ouvrage. A tort très certainement. Mais en ce qui concerne la vérité historique de la « carrière maçonnique » de l’auteur, j’ai la prétention de bien la connaitre ! Aussi, je ne peux que me ranger du coté des sceptiques…
Ce n’est pas qu’un livre de chevet,
C’est un livre de référence,
Chacun trouvera ce qu’il cherche,
Quelque soit le degré et le grade,
Félicitations à Pierre-Philippe Baudel pour cet ouvrage.
Bonjour,
Chaque fois que l’on est en face d’un grand machin, d’une grande machine de Misraïm, de Memphis ou de Memphis-Misraïm, surtout quand il s’auto-proclame de la tradition de Gérard Kloppel, il y a DANGER.
En effet, G. Kloppel, en filiation de Ambelain, était à la tête d’un truc qui s’appelait Ordre International du Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm, dont voici la filiation complète :
1838 Jean-Etienne Marconis France
1869 Marquis de Beauregard Egypte
1874 Salvatore A. Zola Egypte
1881 Joseph Garibaldi Italie
1900 Ferdinand Delli Odi Italie
1902 John Yarker Grande‑Bretagne
1913 Théodore Reuss Allemagne
1936 Guérino Troilo Argentine
1946 Georges Lagreze France
1966 Robert Ambelain France
1985 Gérard Kloppel France
1998 Cheickna Sylla Côte d’Ivoire
2006 Willy Raemakers Belgique
G Kloppel a nommé Ch Sylla Gand maître mondial, lequel a fait de même pour W Raemakers. Et puis il s’est disputé et a voulu reprendre ce qu’il avait donné (c’était donc voler). Et il a recréé un machin mondial qui est cette GL Mondiale de Memphis dont PP Baudel est le grand hiérophante (grand-maître mondial aussi). G Kloppel a été exclu, radié de la FM pour cette rébellion le 26 janvier 2008. Il était donc redevenu profane.
Et puis il y a aussi tous les autres grands maîtres mondiaux d’autres branches de Memphis ou de Misraïm qui se réclament aussi de la même filiation issue de la dispute de Kloppel avec ses successeurs légitimes.
Tous ces Grands-maîtres ne le sont que de ceux qui veulent les reconnaître comme tels : quelques-uns, quelques dizaines, voire pour la filiation historique, dont je viens de donner la liste, quelques centaines.
Sans juger de la profondeur et l’intérêt de cet ouvrage, que je reconnais volontiers, il n’engage que celui qui l’a écrit et certainement pas l’ensemble des « Égyptiens » qui peuvent y trouver de quoi alimenter éventuellement leurs réflexions ou non. Certains de ces Ordres ou GL égyptiennes possèdent effectivement des accords officiels avec e.a. le GOdF ou le GOB ou le … Souvent sujets à révision selon les humeurs ou les dérives de ces Grands Sachem.
Quant au titre « Verbum Diminum », il ne signifie absolument rien en latin. En tant qu’agrégé de lettres anciennes, je peux vous l’affirmer. Il s’agit d’une mauvaise lecture des termes « Verbum divinum » où le « V » s’écrivait « U » et que certains ont cru lire « M ». C’est une erreur basique pour qui n’est pas familier avec la paléographie. Cette erreur n’enlève cependant rien au fond de cet ouvrage colossal et intéressant par ailleurs.
Bonjour Cyrus, je ne commenterais pas ton développement, m’étant justement assez exprimé sur le sujet dans mon livre, dont la finalité n’est aussi pas expressément les Rites dits égyptiens. Au reste, qui concerne le titre, aucune erreur de ma part, puisqu’à voir comme une figure de style ou hyperbole, et enfin, de te remercier pour ton commentaire impartial.
Nota : le hiérophante n’existe pas au sein de l’Ordre de Misraïm, qui relevait à l’origine seul du Rite de Memphis.
Dans la présentation de l’auteur de cet ouvrage, « Grand Maître mondial de l’Ordre de Misraïm et de la Grande Loge Mondiale de Misraïm », le mot « mondial(e) » ne serait-il pas de trop ? Pardon à Pierre-Philippe Baudel dont la contribution aux débats sur le sens de la franc-maçonnerie est sûrement intéressante, mais par rapport à la « philosophie », « amour de la sagesse », ce manque de modestie me gêne.
Il m’aura aussi fortement gêné à son début Cher Peter Bu, et puis j’ai dépassé la chose puisqu’on le voulait ainsi. Je m’en explique, tout du moins sur le plan ‘historique’ : de savoir déjà que l’Ordre de Misraïm est géré au travers d’une Grande Maîtrise Nationale (GMN, par pays) et d’une Grande Maîtrise Générale (GMG, pour l’ensemble des pays) ; Ensuite, que cette dernière appellation, qui existe tout autant au sein du OITAR, ne plaisait pas aux Instances du GODF qui y voyait l’opportunité de croire que j’étais le GMG de la Franc-maçonnerie toute entière, d’où mon inscription comme GMM qui est par ailleurs aussi le terme auquel on aura toujours eu recours au sein de l’Ordre de Misraïm. Enfin, je disais plus haut, que je m’en expliquais sur le plan ‘historique’, ne pouvant décemment m’en expliquer, en étant juge et partie, quant à un éventuel manque de modestie de ma part. Merci pour ta remarque constructive.
Chères Amies, Cher Amis, Mon éditeur (Bussière) m’avait prévenu : « Verbum Diminum » a un avenir très prometteur au regard de ses ventes, qui s’inscriront manifestement aussi dans le temps ». Fi ensuite de cette constatation technique et un peu boutiquière, pour me recentrer sur l’essentiel à mes yeux : Vous remercier vivement, très vivement, des nombreux courriels déjà reçus personnellement, et maintenant pour vos appréciations, que j’aurais sans doute toujours ignorées sans l’intervention de Géplu, et qui me vont droit au cœur. Touché !
Aussi, avec « Verbum Diminum », mes yeux ont cherché les vôtres et n’ai plus fermer les miens en vue que vous compreniez mes émotions et pour graver maintenant en moi les vôtres. Si fait !
Ça tourne à l’idolatrie ? Ou je me trompe …!
hélas non… Il semble que l’auteur, « Grand Maître Mondial » d’un machin de quelques dizaines de membres tienne bien en main ses troupes et ait battu le rappel pour faire la claque !
Toutes ces éloges un peu trop pompeuses sentent l’artificiel.
Merci à Abdel de nous démontrer avec sa remarque (Post 9) que la Société des Maçons reste une société d’hommes – initiés, ou non. Aussi, Abdel est-il au sens strict du terme un Maçon ? Suivant que le propre du Maçon est avant toute chose d’aller à la recherche de la vérité, et qu’avant de présenter celle-ci devant ses Sœurs et Frères, il aura à minima chercher, et en la circonstance lu « Verbum Diminum », ce qu’il n’a manifestement pas fait, ni même chercher à faire ; et, d’en déduire qu’à coup sûr Abdel n’est pas « Franc Maçon ». A la suite, et à cause de cela, de ne pas lui en tenir trop rigueur, quand bien même l’artificiel de son Post aura pu au passage insulter les Sœurs et les Frères et n’avait sur l’instant pour seule ambition que de nuire. Enfin, ‘de battre le rappel et faire la claque’ auprès d’Abdel afin de l’encourager à lire « Verbum Diminum » et d’en attendre sa nouvelle et sincère appréciation personnelle. . . de Maçon. Qui sait ?
C’est marrant cette réponse qui ne répond pas à la question. Ce n’en était d’ailleurs pas une . Juste un constat.
Et je ne parlais pas du livre, mais des commentaires.
Comme Basil je trouve que tous ces commentaires idolâtres n’ont pas l’air très sincères. Ca sent plus le cirage de pompes qu’autre chose…
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Par contre, je n’ai effectivement pas lu les 1000 pages annoncées. Si tout le livre est écrit aussi ampoulé que les commentaires du Grand Maître MONDIAL, ça doit être un peu indigeste. (A propos, la GL Machin Misraïm Mondiale, combien de divisions ?)
Si votre question concerne ma publication (n°7) et dans le sens de guénolâtre, oui, je suis totalement baudelâtre ! Avec, toutefois en moins, l’accent péjoratif du circonflexe.
Lorsque Pier-Philip dialogue avec Morad, voilà enfin l’irruption de la tradition péripatétique en ce début de siècle. Dignes héritiers de la longue سِلسِلة (chaîne) des commentateurs d’Aristote de Maïmonide, Averroès à Saint Thomas d’Aquin.
Il faudra contempler la gemme de l’écriture de Pier-Philip par transparence devant une fenêtre ouverte à l’Orient.
Ainsi, travaillant sur ce point de singularité qu’est le Cabinet des Réflexions, j’ai été interpellé par cette phrase du chapitre 6 du Verbum « L’acrostiche de l’aphorisme du mot VITRIOL ni même son anagramme … ». Et voilà, comment cet acronyme ânonné habituellement dans une vision alchimique, se pare de mystère et invite à ce que l’on tente de soulever le voile.
La vibration du titre du chapitre lui même « Des éléments au/du drame sacré » incite à être attentif au sens circulaire.
Ce dipôle en mains, il est aisé d’extraire une voie possible vers קֹחֶ֔לֶת (Qohélet, L’Ecclésiaste), la sagesse de ce roi à Jérusalem, ses éléments et le drame sacré qui se termine sur un camail pourpre, donnant un autre éclairage au Q qui y est brodé.
Ainsi, ami(e) cherchant(e), n’hésite surtout pas à dépouiller ce texte de toutes ses fleurs, elles renaissent à chaque page…
A déguster, un petit peu chaque jour. L’Histoire et les questions d’ordre initiatique abordées ne peuvent qu’intéresser les Sœurs et les Frères de tous les rites. Et, puis surtout, enfin les preuves sont là qui bousculent aussi les idées reçues, avec la publication des patentes légitimes dans les rites égyptiens, les démonstrations de l’appartenance de Napoléon Bonaparte au Grand Rite Egyptien de Cagliostro, du mauvais rôle qu’on aura fait jouer au Gal Garibaldi dans les rites égyptiens, etc. Et puis l’auteur nous propose quelques éclaircissements incisifs et sans concession qui n’épargnent personne. Qui cherche à méditer au travers de ce dialogue vivant s’en trouvera récompensé. A vous de voir, ou plutôt de lire !
Maçon de la GLDF, je dis chapeau à l’auteur que je ne connaissais pas et dont l’esprit m’est apparu indépendant, passionné, impartial, et aussi sans concession avec les aspects historiques de la Maçonnerie. Au détour, sans l’avoir encore lu en totalité, j’y ai déjà trouvé des débuts de réponses sur mille et une choses qui m’ont parfois même troublé (notamment sur le sens de la vie) mais surtout fait réfléchir avec un réel enchantement. L’avantage encore pour nous Francs-maçons, c’est qu’il fait partie de ses livres utiles, tels le Boucher, Mainguy et Pozarnic, qu’on ne referme jamais.
Un livre que j’apprécie beaucoup, qui effectivement explique ce qu’est la maçonnerie en générale et les rites égyptiens en particulier. Facile à lire et la forme dialogue nous fait entrer dans un échange dont on n’a pas envie de sortir. Encore une fois bravo à l’auteur et je recommande aux initiés et profanes.
J’hésitais à donner mon commentaire sur les sites de la Fnac, etc. pour une raison bien compréhensible de discrétion, et remercie le journaliste Geplu de m’en donner l’occasion. Avec des introductions, un narrateur, des illustrations puisées dans le patrimoine maçonnique, des index pour une compréhension optimale des textes, ce livre mérite vraiment son appellation de nouvelle « Bible des Maçons », il est d’ailleurs depuis quelques semaines mon livre de chevet, et j’encourage vraiment à l’acquérir au sein de tous les rites sans hésiter.
Quel bel ouvrage !
Didactique, quasi exhaustif, des fondements de l’Ordre initiatique …
Aller loin sans jamais exposer au profane ….
De quoi stimuler bien des intuitions !
Si ia curiosité t’’a conduit si va-t’en !
Si c’est une intuition alors soit le bienvenu parmi nous mon frère :.
Pierre-Philippe Baudel parle de la Franc-maçonnerie, c’est lui qui s’exprime mais il parle de nous aussi, il nous explique ce qu’il y a de meilleur en nous
Pour un curieux c’est une flânerie pour s’égarer au plus près d’un monde inconnu, dont les frontières de sens attendent qu’il les traverse en entrant en initiation maçonnique.
Pour un franc-maçon c’est une promenade dans l’inextricable de la pensée maçonnique. Il suffirait de lire son index terminologique en fin de livre pour se rendre compte la profondeur des thèmes abordés, de l’étendue de son érudition convoquant à l’appui de sa réflexion héros et hauts personnages et surtout les « beaux esprits » de sa bibliographie avec qui on sent la familiarité dialogique.
Parfois on entend sa colère contre les colportages erronés des idées reçues guère vérifiées, contre la méconnaissance des sources, contre les raisonnements sans fondements. P._P. Baudel a pris le temps de la vraie recherche, il nous en restitue des informations et des éléments de formation pour éclairer notre propre chemin.
Son livre est une encyclopédie à déguster, émerveillé que l’on peut être par ce qu’il nous rapporte : un trésor, celui de la connaissance bien supérieure aux savoirs pourtant incommensurables du texte, une lumière fraternelle et spirituelle qui demeure en nous à chaque fois que l’on ferme l’ouvrage, plus intense à chaque que l’on l’ouvre à nouveau.
Je ne saurais en dire suffisamment de bien car c’est le meilleur ouvrage que je connaisse qui tire le rideau s’ouvrant sur la représentation de la Franc-maçonnerie. P.-P. Baudel est un passeur éveillé, il a médité, il a observé, il a vécu, il a compris avec acuité ce dont il parle.
Prenez le temps (et la force car il faut bien tenir entre ses mains ce puissant travail) vous aussi d’être à l’écoute des échanges des questions-réponses qui scrutent l’âme maçonnique, vous n’aspirerez plu au repos. Le bavardage a cessé, pour laisser place au discours philosophique au service du plus vrai.
J’ai été vivifiée par la présence intellectuelle, morale et spirituelle au cours de mes nombreuses lectures, petit à petit, venant y butiner le sacré qui ne peut s’exprimer qu’à travers des êtres qui parlent et agissent avec un monde multidimensionnel.. P.-P.-Baudel est de ces êtres-là.