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Géplu.
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À qui profite (toujours) le crime ?
Les « harodim » modernes criant à l’antisémitisme à tout bout de champs, ressemblent étrangement à ceux qui, éternels opportunistes, après être passés au néochristianisme dans les premiers siècles de notre ère, virent des hérétiques partout, surtout chez ceux qui, Lumière immortelle, contrariaient systématiquement leurs desseins malveillants.
Cela semble être toujours le cas aujourd’hui.
Rappelons qu’au temps des premiers lévites, les Harodim sont des sortes de policiers (on dira des Prévôts), et investis du droit de traîner devant le Juge ceux qu’ils voulaient.
Harodim est un pluriel. Au singulier, nous retrouvons ce mot dans les langues occidentales, c’est Haro, que les Dictionnaires définissent comme un terme de pratique dont on se servait pour faire arrêt sur quelqu’un ou sur quelque chose et pour procéder sur le champ devant le juge.
Aussi, n’est-elle pas venue l’heure de tout dire ?
Dites toujours, personne ne vous en empêche, je suis tout ouïe pour ma part, je vous écoute.