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La laïcité, un combat pour l’Universalisme

Publié par Géplu

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jeudi 8 novembre 2018
  • 1
    Anwen
    8 novembre 2018 à 7h01 / Répondre

    La laïcité, un combat pour l’Universalisme : voyons cela.
    Eclaicissons, d’abord, par une petite anayse étymologique et historique, le terme de « laïcité » afin d’en comprendre son origine et son sens réel.
    Dans la protohistoire que l’on nous raconte mal ou pas, les Celtes d’Europe regardaient le schisme de Ram comme peu considérable et donnèrent à ses sectateurs le nom de Esk-Wander, « peuple égaré ».
    De là le nom de Scander donné à tous les grands perturbateurs (en arabe Al-Scander, d’où Alexandre). Le premier de tous, Ram, est appelé le Scander aux deux cornes à cause du bélier qu’il avait pris pour emblème. Le nom de Ram signifiait un bélier, symbole de force brutale.
    Rappelons que les disciples de Ram étaient appelés Ramsès en Egypte.
    De Ram on fit lam qui signifie agneau (Lam, c’est mal retourné). Ce nom lui resta, et le voilà devenu l’agneau, l’être doux, comme la frêle jeune fille. C’est le commencement de la comédie, mais les suites furent si terribles que de lam on fit les mots lamenter, lamentable, lamentations.
    Ram appuie sa prétention de dominer le monde sur la force d’une armée composée des castes inférieures appelées Folk (Folk ou Volg, d’où vulgaire, foule, latin vulgus).
    Cette classe était considérée comme composée de ce qui suit, ce qui sert, mais ne dirige pas, et de la classe guerrière qui s’intitula Leyt, c’est-à-dire élite, les plus forts ayant toujours eu la prétention d’être les meilleurs.
    Les Folk (peuple) et les Leyt (guerriers) s’unirent contre les intellectuels qui formaient une caste supérieure. De ces deux mots Leyt-Folk, contractés, on fit Leyolk qui est devenu laïque.
    Les intellectuels étaient appelés Lœhr, mot qui signifie clarté ; c’étaient les savants. Ce mot clarté, évoluant à travers diverses croyances, est devenu ce qu’aujourd’hui on appelle clergé.
    Et c’est ainsi que depuis les temps les plus reculés, ces deux classes, les laïques et les prêtres, vont lutter l’un contre l’autre pour le pouvoir spirituel.
    Pendant que les plus audacieux s’emparaient du pouvoir religieux, d’autres formaient un parti d’opposition, un pouvoir laïque, en perpétuelles luttes avec les premiers, et toujours leurs discordes avaient pour prétexte « la Vérité » que ni les uns ni les autres ne possédaient.
    Les Prêtres prétendaient l’enseigner, en se basant sur une tradition qu’ils avaient altérée. Les laïques leur montraient leurs erreurs et voulaient substituer à leurs dogmes des dogmes nouveaux, fondés sur des hypothèses forgées de toutes pièces dans leur imagination et qu’ils enseignaient au nom de la raison, quoique ces dogmes laïques, instables du reste, n’avaient pas plus de valeur que ceux des Prêtres. Ils en avaient même moins parce que, au fond du dogme religieux, on retrouvait la science antique, l’Absolu féminin, tandis que dans la science des hommes cet Absolu, quand on l’apercevait, était condamné au nom de la raison de l’homme qui créait le relatif. En réalité, ces luttes n’avaient qu’un but : conquérir le pouvoir en dirigeant l’Instruction publique et en enseignant aux jeunes générations que le gouvernement des vainqueurs était le meilleur des régimes.
    Cordialement.
    https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/faits-et-temps-oublies.html

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