GLFF, qui succédera à Marie-Thérèse Besson ?

Il sera intéressant de vérifier si, malgré l’éventuelle agrégation de loges dites égyptiennes, la GLFF poursuit ou non sa lente érosion et son lent vieillissement.

Quant au rattachement à la CMF il est purement formel et paradoxal puisque cela consiste à se rapprocher de ceux qui ne reçoivent pas les SS tout en s’éloignant ipso facto de ceux qui les reçoivent, voire les intègrent.

Peur de la concurrence diront les mauvaises langues.

Ces deux personnalités ont fait des parcours remarquables l’une dans le secteur bancaire l’autre dans le secteur social et elles ont toutes les deux les compétences pour gérer une grande organisation comme la GLFF. Ces candidatures montrent que les dirigeants des grandes obédiences ont des profils similaires, dans la gestion et l’administration, à part peut-être Jean-Pierre Serviel, qui détonne avec son appartenance au barreau. On ne voit plus de personnalités littéraires ou intellectuelles ! Il est vrai que le parcours nécessaire pour prétendre accéder à la grande maîtrise suppose de ne pas avoir une personnalité trop marquée ! Le moule « technocratique » s’impose aussi chez nous !

Je me pose une question: pourquoi ne pas donner ici, et dès maintenant, le nom en entier des soeurs Marie-Claude K et Martine L?
Que je sache, elles ne briguent pas le plus haut poste pour s’y voiler dans l’anonymat.
D’autant que, ayant l’une et l’autre exercé au Conseil Fédéral de la G.L.F.F. (Je suppose qu’il s’agit de l’équjvalent du Conseil de l’Ordre au G.O.D.F.), elles se sont déjà exposé à une certaine lumière médiatique, à une certaine publicité.
D’autant que, j’imagine également, les deux, la future élue à le plus haute marche, comme l’autre finaliste, feront partie du dit Conseil Fédéral.
Ici, il ne s’agit pas de candidates profanes à l’initiation, non?

Personne ! Elle est irremplaçable.
🙂 🙂