ordres secrets ULB

Les Ordres secrets de l’ULB

Publié par Géplu
Dans Divers

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vendredi 15 décembre 2017
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  • 4
    Uilenspiegel
    16 décembre 2017 à 16h44 / Répondre

    Mon père, dans les années trente, était étudiant en droit et affilié au Club des Neurasthéniques. Ultra-secret !
    Ils sont tous devenus notaires. Les blagues organisées au départ du café de l’Horloge étaient surréalistes… Tiens, pas un mot sur le Phallus ?
    Ils ont en effet l’air d »être beaucoup plus discrets que les maçons…

  • 3
    Minotaure
    15 décembre 2017 à 18h47 / Répondre

    Dans une institution issue d’une initiative historique (dans le contexte belge du XIXème) de le Loge des Amis Philanthropes (Grand Orient de Belgique), et dont traditionnellement (sinon obligatoirement) la plupart des membres du corps académique sont maçons, et dont nombre d’étudiants sont fils et filles de maçons, et au sein de laquelle les diverses obédiences présentes en Belgique n’ont guère de peine à trouver des adhérents, les Ordres soit disant Secrets formés parmi les étudiants relèvent, en effet, essentiellement du folklore, c’est à dire de cette forme de dérision qui est le trait distinctif d’un Etat qui ne se prend plus depuis longtemps pour une nation. Cela dit la pérennité des Macchabées est notoire et remarquable, mais illustre ce cadre sans en rien le contredire.

  • 2
    Chicon
    15 décembre 2017 à 13h43 / Répondre

    La GLUA (UGLE) mène actuellement une campagne active de recrutement auprès des universités et grandes écoles. Ces universités ont deja souvent une loge qui y est attachée de longue date, et certaines n’ont pas encore de loge. On retrouve un peu la filiation des Macchabes et du GOB de Bruxelles mais en plus affirmé.
    Peut être que le GODF a créé une loge à Sciences Po ou à l’Ecole Centrale ?

  • 1
    Chicon
    15 décembre 2017 à 11h33 / Répondre

    Pour les français : « guindaille estudiantine » = fête entre etudiants souvent accompagnée de chants et de biére. Équivalent français : faire la fête. Apres une bonne guindaille on essaie de retrouver son « kot »

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