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Jean Verdun fulmine…

Publié par Géplu
Dans Divers

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mercredi 29 mars 2017
  • 79
    Jiri Pragman
    19 juillet 2017 à 10h02 / Répondre

    La Renaissance du Livre a obtenu le placement en réorganisation judiciaire. Elle devait faire face à plusieurs créanciers http://www.lecho.be/dossier/choixredac/Engluee-dans-un-conflit-la-Renaissance-du-Livre-se-place-en-reorganisation/9915043

  • 77
    KUNTZ
    3 avril 2017 à 9h52 / Répondre

    Très chers lecteurs / trices
    Quelle in jure faite à Jean Verdun: un prie dieu et à genoux une posture qu’il n’a jamais eue et qu’il a courageusement payée cher . Et si il a qqch à voir avec Dieu c’est dans son intimité et n’autorise pas à le situer dans un rapport avec une des religions.
    Cet éditeur doit retirer cette représentation même pas symbolique d’un ouvrage qe référence pour les compagnons et certains Maîtres qui seront bien inspirés de le lire!
    Frat

    • 78
      Thérèse
      5 avril 2017 à 10h45 / Répondre

      Lorsque l’on a pris la peine de lire ce livre la couverture et sa 4ème sont grotesques. Je soupçonne l’éditeur d’avoir voulu attirer les lecteurs dans la catégorie « ésotérisme » ou « occultisme ». Le plus regrettable c’est l’auteur qui en pâtit et lorsque l’on connait Jean Verdun ont a de la peine pour lui. L’éditeur devrait retirer cette couverture non digne du texte car les Maçons et Maçonnes sont par essence adogmatiques.

  • 76
    réboussié
    3 avril 2017 à 8h00 / Répondre

    et si on remplaçait la chaise par un tabouret ? 3 pieds ?ou une table ? un gai ridon mais pas une table basse , ces trucs pour entités à développement horizontal en voix de développement ..contrarié ? je mets aux voies ( de la providence ) la proposition ? table ou chaise ? à défaut ? on mangera sur le pouce ? mais je ne suis pas expert en matière de couverture non plus ….et au lieu de ….un tapis ….non , je déconne ….

  • 75
    JEAN DUBAR
    3 avril 2017 à 2h01 / Répondre

    Déconcertant…
    L’éditeur aurait pu lire cet ouvrage avant d’en concevoir la couverture. S’il l’a lu, ce qui ne transpire guère, peut-être ne l’a-t-il pas compris. Ceci est toutefois légitime tant qu’on n’a pas vécu l’expérience.
    Dès lors il faut accepter d’entendre l’auteur.
    La couverture est toujours partie intégrante de l’oeuvre. Mieux que quiconque l’auteur sait comment illustrer par l’extérieur ce que le lecteur découvrira à l’intérieur. La couverture constitue la porte d’accès ; encore faut-il qu’elle soit belle pour nous donner envie de la franchir !

  • 74
    Stephane
    2 avril 2017 à 19h47 / Répondre

    est il besoin de le dire ….. La réalité maconnique associée à un « prie dieu » …… On est au delà dû concevable et on touche au grotesque.

  • 73
    Florence
    2 avril 2017 à 14h36 / Répondre

    L’éditeur participe ainsi au brouillage ambiant. C’est bien dommage.

  • 72
    Corinthien
    2 avril 2017 à 11h06 / Répondre

    Notre F.:. Jean, à qui je dois mes premiéres lectures M.:. ainsi que de longues heures de réflexions à travers ses écrits me semble avoir raison. Une couverture sobre ayant, comme l’indique beaucoup de commentaires, les principaux outils rituéliques importants de nos ordres, est ce qu’il y a de mieux.
    Cette couverture me prouve, une fois de plus, l’humilité de combat qui est au coeur du parcours de notre Frère Jean et qui l’anime.
    Commercialement parlant, dans certains projets, le marketing ne doit pas prendre le pas sur le fond de la pensée et, dans ce cas précis, un prie dieu n’a, tout simplement, pas sa place.
    Merci encore à notre F.:. de nous montrer que l’on peut suivre son chemin sans compromission et sans équivoque, en accord avec des choix fait il y a bien longtemps.

  • 71
    LINEA RECTA
    1 avril 2017 à 18h57 / Répondre

    @Danton
    « l’auteur a son mot à dire », dans la mesure où c’est prévu au contrat.. Je fais toujours ajouter la mention « avec l’accord de l’auteur » aux articles qui précisent que l’éditeur a seul tous les droits sur la couverture, etc. etc.
    Et quid du copyright en France ? Les Anglo-Saxons et les Espagnols, je crois, mentionnent (c)nom de l’auteur, et non celui de l’éditeur. C’est là un sujet qui concerne plusieurs d’entre nous, et qu’il serait bon de tirer au clair.

  • 68
    réboussié
    1 avril 2017 à 16h39 / Répondre

    poisson d’avril ????? et le dernier de C Kintzler ? je vais lui conseiller pour son prochain livre un ostensoir en couverture , non , la photo du pape , c’est mieux , fumant la pipe , et une bulle ,ceci n’est pas le pape …pour faire avancer le schimili blick ….

  • 67
    Danton
    1 avril 2017 à 15h46 / Répondre

    Et encore un éditeur qui nous ponds une couv’ de m…. (mot secret de 5 lettres)
    Et le 4 ème de couv’ est à l’avenant…
    Ce besoin qu’on certains éditeurs à vouloir tout dire d’un livre en surchargeant la couverture. Je le sais, j’en pratique tous les jours en tant que représentant dans l’édition.
    Je ne saurais trop conseiller au F:. de choisir sa couverture, beaucoup plus lisible et « commerciale ». Car, quoi que certains disent, l’auteur à quand même son mot à dire, surtout si il en a déjà vendu 100 000 ex !

  • 66
    JULLIEN
    31 mars 2017 à 23h39 / Répondre

    Pour moi, il y a bien longtemps, « La Réalité Maçonnique » c’était « Le Livre de Jean », mais de là à vouloir le poser sur un prie-Dieu… quelle troublante idée, symbolique compliquée.
    Ce livre était pour nous un témoignage simple, des idées claires, un désir que nous avons tous eu spontanément envie de transmettre à d’autres.
    Alors, je comprends pourquoi l’auteur ne peut se reconnaître dans cette image.

  • 64
    LINEA RECTA
    31 mars 2017 à 22h11 / Répondre

    Un « prie-gadlu » ! Seigneur…. J’aime mieux cela que le « prix-dieu » de je ne sais plus qui.
    J’espère que le TRF Verdun aura de quoi contrer son éditeur, qui doit tout ignorer de la maçonnerie.
    Quant à Luciole, qu’il ou elle sache que le design de la couverture est le privilège de l’éditeur. Cela a été très bien expliqué supra, mais demeure une source de conflit. Comme tout privilège, du reste.

    • 69
      Jiri Pragman
      1 avril 2017 à 17h08 / Répondre

      On aurait aimé avoir plus de détails sur le contrat (la précédente édition date de 2007) et de la durée des engagements des uns et des autres. Mais, en voulant porter son conflit sur la place publique, l’auteur risque seulement de voir l’éditeur de prendre son temps, histoire de publier le livre à titre posthume.

  • 63
    Abaslacalotte
    31 mars 2017 à 18h50 / Répondre

    Petite histoire à destination de l’éditeur de Jean Verdun qui, je l’espère, a de l’humour ….belge!
    Dans un musée bruxellois deux personnes regardent une peinture représentant Jésus sur la croix
    Le premier s’adressant au second lui dit : « Voyez vous cher Monsieur, ceci est Dieu! »
    L’autre lui répond : « Non ceci n’est pas Dieu! »
    « Comment osez vous me contredire Monsieur? Savez vous bien qui je suis ? Vous vous adressez au Grand Maître de la Grande Loge de Blabla et à ce titre je suis parfaitement qualifié pour vous parler de Dieu! » rétorque le premier quidam
    « Et bien moi cher Monsieur le Grand Maître, je m’appelle Magritte ! »

  • 60
    Chimbo
    31 mars 2017 à 15h59 / Répondre

    En consultant les pages internet qui reprennent les différentes couvertures du livre de Jean Verdun, je relève que l’équerre et le compas y figurent en bonne place, ce qui me semble tout à fait pertinent.
    La proposition de l’éditeur est pour le moins surprenante. Soit son choix relève d’une forme de provocation, soit il relève d’une ignorance peu crédible de la part d’un éditeur d’ouvrages maçonniques.
    Pour ma part, je continue de penser qu’une équerre et un compas comme couverture pour un livre maçonnique sont plus appropriés qu’un prie-dieu !
    Et j’espère que Jean Verdun obtiendra gain de cause auprès de son éditeur belge.

    • 62
      Laurent Marcel
      31 mars 2017 à 17h21 / Répondre

      Je trouve egalement que le niveau à tout à fait sa place, et permet une couverture beaucoup plus lisible

    • 70
      Jean Verdun
      1 avril 2017 à 18h40 / Répondre

      Merci à toutes celles et tous ceux qui ont bien voulu jouer le jeu que je leur proposais. Merci à la majorité d’entre vous qui avez préféré la couverture blanche, simple et claire, à celle de l’éditeur. Maintenant que le jeu est joué, je peux vous dévoiler ses dessous. Depuis des années, le repreneur des Editions La Renaissance du livre – Luc Pire est en désaccord avec moi, laisse pendant des mois les librairies sans les approvisionner. Il devient incompréhensible qu’en dépit de mes demandes répétées, il refuse obstinément de me rendre ma liberté et de rompre pacifiquement tout contrat entre nous. En réalité, il m’apparait que ses conseillers cherchent à m’utiliser au profit d’une vision religieuse de la Franc-maçonnerie. C’est pourquoi j’ai fulminé publiquement contre cette trahison par l’esprit. J’en suis d’autant plus blessé que cela se passe en Belgique, que je suis membre depuis trente ans de la Grande Loge de Belgique et que j’aime profondément les orientations maçonniques majoritaires de ce pays, au Grand Orient comme à la Grande Loge.

  • 59
    réboussié
    31 mars 2017 à 14h59 / Répondre

    je dois confesser que je suis assez dubitatif ,car si le texte soulève autant de questions et de controverses que la couverture , il n’est pas du tout à la portée d’un apprenti de mon niveau , de mon équerre non plus ,j’ai quand même appris que l’ustensile était un Prix -Dieu , je trouvais bien le système un peu brutal pour mon dos , je préfère le tailleur ,non, pas celui la , la position plus confortable pour diner sur certaine tables basses . mais en fait , Dieu et ses accessoires ? colifichets et autres ….il ne peux effrayer que ceux qui croient en lui ? ne croyant pas à la chose ? pourquoi avoir peur du mot ? alors ,d’une cadière , comme on dit chez moi , j’en tombe assis …mais continuons à creuser …..marchons , nous irons ainsi plus loin que celui assis ou à genou sur sa chaise ….moi , j’aurais mis deux chaises , pour symboliser l’hésitation , l’incertitude , le doute ….de celui assis ……entre deux chaises ….

  • 58
    LINEA RECTA
    31 mars 2017 à 14h52 / Répondre

    Qui donc conseille la Renaissance du LIvre avec des idées aussi loufoques ? J’ajouterai : une idée idéologique de derrière la tête… Que Jean Verdun reprenne donc ses droits après le rachat par RDL de la maison avec laquelle il avait signé un contrat..

  • 54
    ALTEC
    30 mars 2017 à 19h38 / Répondre

    Bonsoir,
    L’ éditeur fait ce qu’il veut, on ne nous demande pas de nous substituer à lui ni de le convaincre:
    On nous demande notre avis . . .on le donne , ou pas . /
    Pour ma part j’ai donné mon avis mais ce n’est que mon avis.

  • 53
    AJ LACOT
    30 mars 2017 à 17h06 / Répondre

    Qu’on enlève le prie-Dieu et qu’on n’en parle plus !
    Cependant, sans entrer dans le débat entre une « création » inexistante et une illisible parce que trop chargée, trois remarques :
    L’idée de demander leur avis aux lecteurs potentiels est à manier avec précaution ; le récepteur d’un « message » peut seulement dire s’il aime ou pas et pourquoi ; il est très mal placé pour se substituer à « l’émetteur » du message. Normalement, cela se fait sur la base d’un échantillon représentatif du public-cible visé.
    Contractuellement, dans les contrats d’édition français, le choix de la couverture appartient à l’éditeur, l’avis de l’auteur n’est que consultatif ; ceci pour plusieurs raisons, à commencer parce que, en général, un ouvrage s’intègre dans une collection qui a une charte graphique normée.
    La couverture des précédentes éditions « Flammarion » et « Luc Pire » sont plus évidentes.

  • 50
    Reco et c'est Frère
    30 mars 2017 à 13h45 / Répondre

    Sérieux !?

    Va t’on aller jusqu’à bruler des chaises au nom de la laïcité ou de l’anticléricalisme !?

    Même une chaise devient un insupportable symbole religieux ostentatoire !?

    Jusqu’où ira t’on dans la radicalité et l’extrémisme !?

    Je me demande si la FM ne finit pas par rendre complètement con.

    Moi je recommande vivement de conserver ce meuble car il à l’air très confortable, et quand on aura fini, les mouches en auront bien besoin pour réussir à s’asseoir…

    • 51
      Jules
      30 mars 2017 à 14h45 / Répondre

      Allons Recco. Il ne s’agit pas d’une simple chaise, mais bien d’un prie-dieu, qui est bien que tu le veuille ou non « un symbole religieux ostentatoire ».
      Maintenant, qu’il soit insupportable, peut-être à certains, mais ce qui est sûr c’est que ce n’est pas un symbole maçonnique et qu’il évoque tout autre chose.
      La laïcité et l’anticléricalisme n’ont rien à voir là-dedans, juste le respect de ce qu’est la franc-maçonnerie.
      Donc, évitons le mélange des genre, et rappelons que la maçonnerie n’est pas une religion, même pas à la GLNF même si le Gadlu y est Dieu.

      • 56
        Luciole
        31 mars 2017 à 10h47 / Répondre

        Tout à fait d’accord avec Jules.Cet ouvrage n’est pas destiné à de savants exégètes mais au profane moyen,intéressé par la FM.

        Pour n’importe quel visiteur de l’étagère de librairie sur laquelle figure cette couverture le regard attiré par le prie-dieu assimilera,consciemment ou pas,FM avec Religion sans plus de précision.
        Est-ce voulu? autre question.

        • 57
          yasfaloth
          31 mars 2017 à 12h43 / Répondre

          Mouais, mon impression c’est que ce livre est surtout lu par les « maçons en déprime » qui y voient un moyen de redescendre sur terre, et de se rassurer, lors de la fameuse dépression post exaltation… je me demande en quoi cette « réalité maçonnique » pourrait parler à des profanes… même s’il y en a sûrement beaucoup qui la lisent bien sûr…

    • 52
      yasfaloth
      30 mars 2017 à 14h58 / Répondre

      🙂 Surtout qu’on aurait pu lire l’image de façon complètement différente, car, enfin l’homme de la couverture (le Frère ?) n’est pas agenouillé : il est debout !
      .
      Dès lors on peut y voir un homme debout devant (et non derrière) un symbole de dévotion…
      .
      Mais bon, je dois être trop « religieux » pour ne pas me m’indigner devant la simple présence cet insupportable symbole de soumission !

      • 55
        Désap.
        30 mars 2017 à 21h27 / Répondre

        J’ai mieux encore :-))
        Le prie-dieu se trouve hors du pavé mosaïque, donc hors de la loge,
        le Frère est, lui, bien dans la loge et il est appuyé de maniére désinvolte sur le prie-dieu, de sorte qu’il signifie clairement aux tenants du dogme : mes chers amis si vous saviez la vacuité, la pauvreté de vos certitudes, de vos croyances ; regardez ce pavé, regardez ces symboles … pensez-vous raisonnablement pouvoir faire l’économie de leur étude ?
        Elle est excellente cette couverture !
        l’intuition, la justesse des mises en scènes symboliques ne sont semble-t-il pas le fait des seuls « initiès », ceux-là même qui paraissent complétement aveuglés par leur anti-théisme dogmatique au point d’oublié tout l’avantage qu’il y a à s’exprimer en usant … de symboles.

  • 49
    Abaslacalotte
    30 mars 2017 à 13h26 / Répondre

    Bonjour,
    Je partage l’indignation de Jean Verdun et lui communique tout mon soutien.
    Le « prie-gadlu » ne doit pas figurer sur la page de couverture comme tous les commentateurs l’ont affirmé.
    Mais s’il y avait en interne de l’ouvrage, un chapitre consacré à la GL et au SCDF dont elle est la fille ainée je proposerai d’insérer ce « prie-gadlu » avec le titre du chapitre. Bien entendu cela pourrait aussi s’appliquer aux chapitres consacrés à la GLNF et à la GL-AMF et aux autres institutions « religieuses » de toutes confessions s’affirmant « maçonniques » par usurpation d’identité.

    • 61
      Papygrincheux
      31 mars 2017 à 17h07 / Répondre

      Tempête dans un bénitier!

  • 48
    Forest *
    30 mars 2017 à 13h00 / Répondre

    La règle, l’équerre, le compas, tous ces éléments sont autant d’identifiants clairs. Ce prie dieu n’a rien à faire dans ce propos. Je ne comprends pas la démarche de cet éditeur.

  • 47
    Jean Farnier
    30 mars 2017 à 10h44 / Répondre

    Un prie-dieu… « L’irréalité maçonnique »!

  • 45
    Jiri Pragman
    30 mars 2017 à 9h49 / Répondre

    On ne peut juger une couverture seule. Un ouvrage fait souvent fait partie d’une collection et en applique les codes graphiques. Ou il est en phase avec la production de l’éditeur. Celui-ci ne semble pas disposer d’une collection « maçonnique ». L’ouvrage prendra peut-être place au rayon « société »… où un certain nombre de livres disposent d’une couverture sans illustration mais avec juste un jeu graphique sur le titre.

    Par ailleurs, « La réalité maçonnique » a été édité chez Luc Pire en 2007. L’auteur n’a-t-il pas prévu de récupérer ses droits après une certaine période ?

  • 44
    willermoz 59
    30 mars 2017 à 9h32 / Répondre

    Bonjour à toutes et à tous,
    Peut être faudrait-il ajouter un prière d’insérer ?
    Oui bon, mais comme vous savez on résiste à tout sauf à la tentation…du prie-Dieu.

  • 41
    Philippe Foussier
    30 mars 2017 à 7h48 / Répondre

    La couverture avec le prie dieu révèle au minimum que l’éditeur n’a pas lu le livre, ce qui atteste de son incompétence professionnelle.
    S’il l’a lu, c’est presque pire, car une telle confusion mentale est confondante.

    • 42
      Lionel MAINE
      30 mars 2017 à 8h48 / Répondre

      L’éditeur est peut-être tout simplement un visiteur assidu des « blogs » maçonniques et, s’est rendu compte que la majorité des contributeurs sont à trois doigts de tomber dans le bénitier !

      • 46
        Philippe DEBAY
        30 mars 2017 à 9h59 / Répondre

        Ils sont déjà en train de barboter dans le bénitier de la FM. Ils y chantent tout est bon dans le c…… pardon dans la FM.
        Désolé je n’ai pas pu résister !

  • 40
    Ronan LOAEC
    29 mars 2017 à 22h53 / Répondre

    Cher Jean Verdun (et je salue au passage l’ami rené Rampnoux), n’est-il pas possible de trouver mieux? Le graphisme de ta couverture est tout de même, disons, dépouillé… On ne peut négliger l’importance d’une couverture vendeuse.
    Pour autant, le choix de l’éditeur est simplement inadmissible: le prie-dieu relève du contresens total, voire du gag involontaire!

  • 39
    Jean-Paul Constantin
    29 mars 2017 à 20h11 / Répondre

    Gypsy
    J’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’une blague… Orner la couverture d’un livre maçonnique par la représentation d’un prie-dieu…
    Il est vrai que l’humour est souvent trop absent de ce genre d’ouvrage. On peut cependant s’interroger pour deviner si l’éditeur a cherché à élargir son lectorat au prix d’une excentricité aux dépens de ses fidèles lecteurs ou bien s’il s’est tout simplement trompé de dossier.

  • 38
    MG RENAULT
    29 mars 2017 à 19h59 / Répondre

    Dans l’ECOLE DES LUMIERES il n’est pas bon de faire la publicité des religions même avec un décor vide de contenu.
    Les symboles sont forts lorsqu’ils ne sont pas détournés et ou mal associés.
    Bon courage à Jean VERDUN
    FRATERNITE

  • 37
    Jpv
    29 mars 2017 à 18h58 / Répondre

    Je trouve ridicule cette idée du prie-dieu qui n’a aucun sens ni pour les maçons ni surtout pour Jean et sa pensée.
    la maquette de Jean est très dépouillée et correspond bien au travail effectué

  • 36
    FRANCOISE BARRET-DUCROCQ
    29 mars 2017 à 18h49 / Répondre

    En tant que membre de la GLFF et étant de convictions profondément laïques, je trouve inadmissible que la Franc maçonnerie soit représentée sur la couverture d’un livre auquel j’ai contribué, par un homme, forcément vieux et forcément sage, s’appuyant de surcroît sur un prie-dieu ! Cette image fait fi de la mixité nouvelle et si bienvenue du GO et surtout de l’existence d’une franc-maçonnerie féminine très active qui célèbre cette année ses 70 ans. La 1ère comme la 4ème de couverture proposées par l’éditeur témoignent soit d’une ignorance, soit d’un mépris du contenu de l’ensemble de l’ouvrage, soit d’une volonté de tromper le lecteur ou la lectrice, ce que je ne peux pas une seconde imaginer !

    • 43
      triangle
      30 mars 2017 à 9h31 / Répondre

      bien d’accord avec toi
      plus de promo pour la maçonnerie qui ne veut entendre les soeurs que exceptionellement
      bonne continuation

  • 35
    Bandit
    29 mars 2017 à 18h37 / Répondre

    Au contraire.
    Ce prie-dieu vide… quel symbole!
    Personne pour se soumettre…..juste un homme qui s’y appuye….

  • 34
    Tezouche
    29 mars 2017 à 18h13 / Répondre

    A l’image de nombreux contributeurs je trouve la maquette blanche très lisible et visible, plus en accord avec la réalité maçonnique que cette sorte de bouillie marron, de couleur laide et terne, nous sommes venus chercher la lumière, cette couleur blanche est adéquate.
    Frat.

  • 33
    Corinne Spo.
    29 mars 2017 à 18h04 / Répondre

    Corinne S.
    Question :
    L ‘éditeur a -t-il lu cette réalité maçonnique renouvelée, à 3 voix, 3 formes maçonniques abordées: féminine, mixte et masculine?
    Pour sortir de ce dialogue de sourds, peut-être faut-il envisager une 3° couverture…
    Il existe des artistes plasticiens, photographes francs-maçons qui sauraient allier contenu, respect des auteurs et art.
    Et puis, parler d’un livre qui sort est essentiel, maintenant on a vraiment envie de le lire, avec ou sans la couverture.

  • 32
    Philippe DEBAY
    29 mars 2017 à 17h49 / Répondre

    Prie-dieu à censurer en le caviardant !

  • 31
    des Tilleuls
    29 mars 2017 à 17h43 / Répondre

    le projet de Jean Verdun, sur fond blanc et sans photo
    est un bon projet simple, efficace , le caractère choisi
    est clair et précis
    Cette couverture attirera l’oeil dans les rayons de librairies
    Frat . * .

  • 29
    France Darry
    29 mars 2017 à 15h07 / Répondre

    De très mauvais gout « le prie dieu ». Il me semble que l’on pourrait prier l’éditeur de ne pas choquer les lecteurs avec une image en désaccord avec le contenue du livre. C’est une manipulation assez vulgaire qui peut influencer le lecteur……ah! les images quel pouvoir!!

  • 28
    Jean-Paul Ricker
    29 mars 2017 à 15h07 / Répondre

    Soyons simple : l’important, c’est le contenu. Et la couverture d’un ouvrage – si le choix n’est pas celui de la neutralité – se doit d’être en concordance avec le contenu.
    En l’occurrence, la couverture proposée par l’éditeur donne une image non seulement en contradiction mais en opposition avec le contenu. De plus, cette couverture ne correspond à aucune réalité, un comble pour le seul livre qui tente, avec succès, d’exposer à ses lecteurs la réalité maçonnique.
    Certes, la réalité vue – et vécue – par Jean Verdun. N’empêche qu’il est le seul auteur à avoir su l’exprimer avec une intelligence, un talent et une sensibilité qu’on ne trouve nulle part ailleurs dans la littérature maçonnique.

  • 27
    michel
    29 mars 2017 à 14h37 / Répondre

    Notre frère Jean pourrait se mettre le genou à terre et en équerre devant le pavé mosaique , c’est une forme de prière maçonnique qui pourrait convenir à toutes les sensibilités ? Avec son livre dans les mains !
    Cette forme de consultation dynamise le blog…

  • 26
    Buiron Christian
    29 mars 2017 à 13h53 / Répondre

    Je pense que Jean Verdun n’a pas besoin d’une couverture « marketée » agrémentée d’un meuble qui n’a pas sa place ici; son nom et son œuvre suffirait. On sait bien que les éditeurs ont leur choix, mais le respect de l’auteur ne doit pas être oublié. La suppression du meuble et du personnage devrait permettre la sortie de crise, par le haut! Je possède ce livre, mais si je devais en acquérir un autre exemplaire, je réfléchirais trois fois avant d’acheter La réalité maçonnique avec un prie-Dieu!!!

  • 25
    Blazing Stas
    29 mars 2017 à 13h46 / Répondre

    Et peut etre que l’important est que l’ on parle de la réèdition de ce Livre ce qui le fera vendre, le reste serait secondaire.

  • 24
    JACQUES CHARRAT
    29 mars 2017 à 12h58 / Répondre

    La « Réalité Maçonnique » de Jean Verdun est un ouvrage précieux. En démystifiant le vécu des francs-maçons, le récit invite à questionner l’invisible qui appelle ceux qui s’engagent sur la voie initiatique. A l’abri des agitations trop humaines, le travail poétique de la pensée peut prendre son envol.

    Rien ne serait plus absurde que de réduire la portée du livre par une couverture tendancieuse et polémique. La quête de spiritualité maçonnique ne peut être délimité par le fait religieux. Elle s’envisage sans référentiel prédéfini… et regarde l’Ouvert…

    La première couverture est donc préférable à la seconde ; même si sa composition reste très faible sur le plan esthétique. La sobriété n’est pas synonyme de pauvreté et de laideur…

    Bien à vous

  • 23
    Sylvie B
    29 mars 2017 à 12h49 / Répondre

    Un prie-dieu pour illustrer la maçonnerie, quelle drôle d’idée. Même si l’autre projet est un peu …sommaire, il me plait mieux. Simplicité, efficacité.

  • 21
    ROGER
    29 mars 2017 à 11h32 / Répondre

    Je trouve que le projet noir et marron est d’une grande tristesse: il évoque le mystère et le complot; le pavé et le prie dieu ressemblent à un pion sur un échiquier; cela ne donne vraiment pas envie. Je préfère nettement le côté ouvert et franc du projet blanc.
    ROGER

  • 20
    Libre-penseur
    29 mars 2017 à 11h31 / Répondre

    Je ne comprends pas comment on peut avoir été Grand Maître de la GLDF et la quitter pour aller au GODF… Bref, c’est Jean. .. Sinon cette histoire de couverture est sans intérêt : ça doit se régler entre écrivain et éditeur sans plus de pub autour ce non évènement. Moi aussi je n’ai pas compris pourquoi cet engouement pour cet ouvrage. Je suis membre actif de la GLDF depuis 1976.

    • 30
      Luciole
      29 mars 2017 à 16h20 / Répondre

      La réponse est ; « EGO » en un seul mot. Il n’est pas le seul GM à faire le voyage.
      C’est une façon un peu minable de relancer la promo.
      Au passage vu d’en haut ce prie-dieu a un petit coté « guillotine » n’est t-il pas ?

  • 19
    Chicon
    29 mars 2017 à 11h21 / Répondre

    Je dois être « timbré » car je trouve tres bien le grand damier et le petit homme qui marche d’equerre sur la ligne.,comme au rite Emulation
    Le prie-Dieu fait église catho , on peut peut etre l’enlever.

    • 22
      Chicon
      29 mars 2017 à 11h33 / Répondre

      Avec Photoshop on peut aisement transformer le prie-Dieu en agenouilloir sur lequel l’impétrant prend ses engagements.

      • 65
        Brumaire
        31 mars 2017 à 22h15 / Répondre

        Un « agenouilloir »? c’est quoi ce truc? D’autant plus incongru qu’on précise (parfois, et dans certains rituels) à l’initié qu’il ne fléchira le genou devant personne…
        Pour moi, le fil à plomb va bien avec le contenu de l’ancienne « Réalité maçonnique », une réalité toujours d’actualité, hélas…

  • 18
    Makhno Nestor
    29 mars 2017 à 11h19 / Répondre

    Blanc et noir, comme le pavé mosaÏque !

  • 17
    HRMS
    29 mars 2017 à 11h02 / Répondre

    Cette couverture est un contre sens terrible sur la « nature » , au sens du XVIII , de la FM, contre sens que beaucoup de pseudo spiritualistes transportent implicitement, comme si Le Principe de la FM, celui de l’ Arkhé tecture, ne se trouvait pas en elle même;
    cependant cette couverture traduit, donc quelque chose de réel et de faisandé de la boutiquerie du maçonnisme ; et d’un point de vue commercial elle plutôt bien racoleuse pour assurer le succès, ainsi illusoirement soufré, pour les gogos du livre.

  • 16
    triangle
    29 mars 2017 à 10h58 / Répondre

    bien vu luciole!! est ce vrai?

  • 15
    triangle
    29 mars 2017 à 10h56 / Répondre

    surtout pas le prie dieu…

  • 14
    yasfaloth
    29 mars 2017 à 10h15 / Répondre

    Peut être est ce simplement encore une manifestation de l’Ego démesuré de Jean Verdun qui a souvent tendance à se focaliser sur des détails pour éviter de voir l’ensemble.
    .
    Je n’ai jamais trop compris le succès de ce livre, que j’ai pour ma part refermé avec un une impression mitigée, mais non sans avoir essuyé les quelques larmes de rigueur après la lecture du dernier chapitre.
    .
    Il faut admettre que le style en est d’une qualité littéraire satisfaisante et agréable, mais l’ouvrage dégage, à mon sens, si l’on excepte le côté promotion de sa personnalité d’écrivain, et bien sûr l’hommage à sa compagne, un manque d’empathie et une superficialité qui conduit à se demander si, au fond, le célèbre chapitre « Vertige des intellectuels séparés » où J. Verdun décrit la difficulté de s’insérer dans la démarche quand on possède un bagage intellectuel déjà conséquent, n’avait pas quelque chose d’auto-biographique.
    .
    Pour ce qui concerne la couverture, celle que nous propose J.Verdun est peut être effectivement plus en harmonie avec le contenu du livre plus empreint au fond d’un matérialisme un peu terne, nombriliste et parfois (déjà) vaguement misanthrope, que d’une réflexion de nature spirituelle, ouverte et lumineuse.

  • 13
    Lionel MAINE
    29 mars 2017 à 10h15 / Répondre

    J’aime assez le prie-gadlu fluo !

  • 12
    Jiri Pragman
    29 mars 2017 à 10h10 / Répondre

    Je ne suis pas sûr qu’un éditeur soit prêt à se laisser forcer la main via une « consultation » à travers un blog. Lorsqu’on a un différend avec un éditeur n’est-il pas préférable soit de s’asseoir à une table soit de prendre un avocat afin de voir comment casser le contrat ?

  • 11
    Contributeur
    29 mars 2017 à 10h10 / Répondre

    Vu par un maçon « de Tradition », je suggérerais à l’éditeur, s’il tient à évoquer la maçonnerie Déiste, un autel des serments « précédé » d’un agenouilloir. Je présume que tout lecteur même profane devinera la nature du Livre de la Loi Sacrée, et l’usage de l’agenouilloir, alors que pour dire vrai, la nouvelle Messe remontant à Paul VI, je ne suis pas certain que le lectorat reconnaisse un prie-Dieu…

  • 10
    DaXaD
    29 mars 2017 à 9h59 / Répondre

    Je partage le même avis que ALTEC.
    Pourquoi ne pas garder le projet initial de l’éditeur en ôtant ce bonhomme sur son prie-dieu qui n’a rien à y faire. Surtout qu’en négatif il faut un temps certain pour se rendre compte de ce que cela représente effectivement.
    Le second projet proposé par Jean Verdun est trop austère, non engageant et un peu trop franco-français.
    Cependant, cela ne change rien au contenu, OUF !
    L’intérêt du livre principal c’est d’être recommandé par un F envers un autre F, importe peu en fait le sexy de la couverture.

  • 9
    Pierre
    29 mars 2017 à 9h54 / Répondre

    Moi j’aime bien la première. Elle n’est pas sombre, pas triste, elle est claire et attractive. Simple peut-être mais plus moderne que celle avec le prie-Dieu qui fait un peu fouillis !

  • 8
    Rodrigue Souweine
    29 mars 2017 à 9h52 / Répondre

    voila un éditeur qu rejoint la grande loge d’Angleterre, alalala je pense que tu peux imposer ton point de vue qui me parait le plus beau une page blanche

  • 7
    Simon
    29 mars 2017 à 9h43 / Répondre

    Je trouve personnellement qu’effectivement le rapport au religieux n’a rien à faire sur un livre de Jean Verdun. La proposition faite par l’auteur est en tous cas préférable même si elle me semble austère alors que le livre est la lumière même.

  • 6
    J.J.-B
    29 mars 2017 à 9h38 / Répondre

    Et pourquoi pas un crucifix ? Le gars qui a pondu ça a une drôle d’idée de la franc-maçonnerie

  • 5
    réboussié
    29 mars 2017 à 9h33 / Répondre

    mon dieu ? que dire ? astucieux comme campagne publicitaire ? et entre la première page et la dernière ? vous me recommanderiez l’achat ? le tirage semble bien sur plaider pour un intérêt certain , peut être un cabinet de réflexion ,mais veiller à que les pieds ne dépassent pas ….

  • 4
    André Mor.
    29 mars 2017 à 9h04 / Répondre

    C’est vrai que le projet de Jean est un peu simpliste, mais l’autre est totalement rédibitoire. Et trop sombre et avec une écriture pas très lisible.

  • 3
    Altec
    29 mars 2017 à 9h00 / Répondre

    Ni l’un ni l’autre,
    Pour l’un : le prie dieu n’a rien a faire dans cette photo…quelle idée ?
    Pour l’autre : bleu blanc rouge ? Et puis cette couverture est « froide »comme celle d’un quelconque dossier.
    Il suffit, peur être, de conserver la photo sans le personnage et son prie dieu car sans hurler comme l’auteur ceci n’apporte rien sinon au minimum un très grand agacement , pour ma part je trouve ça très « c.. »

  • 2
    Biobrute
    29 mars 2017 à 8h37 / Répondre

    Bonjour à tous,

    pour ma part, je trouve la première présentation très austère par rapport à la seconde.

    En revanche, le prie-Dieu est gênant certes, mais le coté face visible / face cachée est très parlant. Et puis, finalement, la franc-maçonnerie ne serait elle pas amenée à être une forme de religion (au sens étymologique du terme) débarrassée des dogmes ?

    Je voterai pour la seconde présentation.

    Et si on veut un exemplaire dédicacé, on fait comment ?

    Bonne journée à tous.

  • 1
    luciole
    29 mars 2017 à 0h34 / Répondre

    Si Jean Verdun n’est pas capable d’imposer sa préférence ,il n’a qu’à changer d’éditeur.Il a bien changé d’Obédience!

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