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Une derniere précision en hommage au nom de ce site, et avant de prendre définitivement congé, et laisser certains à leurs dogmes et autres préjugés.
Hiram, c’est Myriam dont le nom est lu à l’envers : le nom d’ « Hiram » doit se lire de droite à gauche : Hiram alors devient Maria. En hébreu, Le heth final (H) se prononce A.
La Légende d’Hiram
C’est dans la cérémonie d’initiation au 3e degré des Mystères de Jérusalem qu’on faisait l’histoire de Myriam.
C’est l’antique nom de Myriam qui, en passant de l’égyptien à l’hébreu des temps postérieurs, est devenu Maria.
L’acacia, qui symbolisait la Femme et son œuvre scientifique, devint l’arbre funéraire quand elle tomba de son piédestal primitif.
Cet événement est relaté dans toutes les vieilles Écritures sacrées. C’est la descente d’Ishtar aux Enfers ; celle de Proserpine dans la sombre demeure de Pluton ; c’est aussi le thème du Livre des Morts des Égyptiens.
En Egypte, la Maîtrise, premier grade de l’Initié, se nommait « Porte de la mort », parce qu’on touchait aux confins de la vie et de la mort, suivant l’expression d’Apulée, on descendait dans la tombe noire de l’Humanité, c’est-à-dire dans la vie de mensonge et d’erreur que faisait naître le règne de l’homme, pour renaître ensuite à la lumière et à la vie renouvelée, avec le retour de la Femme dans son ancien pouvoir.
Cette allégorie, toujours la même, se retrouve dans toutes les religions, dans une multitude de légendes, sous des noms différents. Partout c’est la même idée : un martyr succombe sous les coups du génie du mal et subit le trépas pour recommencer bientôt après une vie glorieuse et immortelle. C’est le dogme de la lutte éternelle des sexes, des deux Principes opposés qui pèsent sur le monde : le Bien et le Mal, la Lumière et les Ténèbres.
Si nous lisons l’histoire des siècles passés, si nous jetons les yeux autour de nous, nous voyons que, partout où la Femme est vaincue, le talent est méconnu, la vraie science méprisée, la vertu persécutée, l’ignorance, le fanatisme et l’ambition gouvernent le monde.
Cordialement.
JC van dale « La cérémonie d’initiation au troisième degré des Mysteres de Jerusalem » c’est où ?
Woooh ! Ne change rien, c’est de la bonne :-)))))
JOHANA
C’est au milieu de la préoccupation générale de cette époque qu’une femme s’éleva qui vint prêcher le retour à l’ancienne doctrine israélite et la restitution de la science antique.
Cette femme s’appelait Johana ; ses disciples s’intitulent eux-mêmes Mandaïe de lohana.
Les Mandaïtes sont ceux qui croient au Manda de hayyé (esprit de vie), littéralement connaissance de la vie.
On dit aussi « Chrétiens de saint Jean », depuis qu’on a masculinisé le nom de cette femme.
Mais, nous l’avons déjà dit, ils ne s’intitulaient pas Chrétiens, mais Christiens.
La doctrine de Johana a pris le nom de Sabéisme, comme celle des anciens Iraniens et comme celle des Ethiopiens dont cette secte va restaurer la morale.
Donc les premiers Christiens sont des Sabéens (mot dérivé de sabba, baptistes).
Le nom de baptiste vient de ce que les hommes avaient l’habitude de se purifier tous les huit jours pour se présenter purs à la Déesse.
Dans la confusion des explications modernes, on nous dira que Johana représente le Feu sacré.
Sa fête, célébrée le 24 juin, le jour le plus long de l’année, est destinée à perpétuer la gloire de sa lumière spirituelle. C’est pour cela que, depuis dix-neuf cents ans, on allume les feux de la Saint-Jean.
C’est la grande fête du peuple, le grand jour, ou jour du Soleil (1).
Johana, comme une multitude de noms de femmes, vient de la racine Ana ou Hana.
Précédé de la lettre idéographique Iod, il devient lo-hana. Ana est un nom kaldéen qui signifie Ciel ou lumière astrale : on disait Anima mundi, d’où vint Anaïtia.
Ana-Kanya est un nom ésotérique qui signifie « Vierge de lumière » (Cailleux, La Judée en Europe).
En roumain, Jeanne est encore Iana. Nous trouvons aussi Juana et ‘Ivana, d’où Ivan.
C’est le nom symbolique de la Femme.
La colombe qui représente le Saint-Esprit est appelée Iona en hébreu.
Et, parmi les surnoms donnés à Johana, nous en trouvons un qui rappelle ce principe de lumière spirituelle : c’est Saint-Jean-de-Luz.
Le mot Yoni en sanscrit, d’où Yonijas, qui a la même racine, est porté par les partisans du Principe féminin.
(1) Le Solstice d’été (Saint-Jean) a dû servir de fête, célébrant la Divinité, longtemps avant saint Jean. ; On a dû substituer son nom à d’autres noms plus anciens
Burnouf fait remonter les deux fêtes du Solstice, Noël et Saint-Jean, à 7.000 ans. Pour lui, saint Hélie a succédé à Hélios, le Soleil, saint Démétrius à Déméter ou Cérès, la sainte Vierge à la Vierge Minerve, qui fut l’aurore, etc.
LA NAISSANCE ET L’ENFANCE DE JOHANA
D’après les antiques traditions d’Iran, recueillies par Abulfarage, Zerdasht, le restaurateur du Magisme, homme de science, grand astronome, annonça sous les premiers successeurs de Cyrus et peu de temps après le rétablissement du Temple qu’un Enfant divin, appelé à changer la face du monde, naîtrait d’une Vierge pure et immaculée dans la région la plus occidentale de l’Asie (2).
Or cette prédiction ne pouvait se rapporter qu’à Johana. C’est bien elle qui est Jean le Divin, Jean de Dieu, Jean bouche d’or.
L’histoire du petit saint Jean a précédé celle du petit Jésus, qui en a été la copie.
Elle est racontée dans l’Evangile selon Luc. Dans le chap. I, tous les versets de 1 à 25 s’y rapportent, puis de 57 à 80. Une coupure est faite au milieu de cette histoire pour y introduire une copie maladroite s’appliquant à Jésus.
(2) Autour de la statue de Kwan-Shi-Yin, on lit l’inscription suivante : « Le Sauveur universel de tous les Êtres vivants ». Kwan-Shi-Yin (femme messie), sauveur des nations, fut le « créateur », l’artisan du monde. En lui était la vie et la vie fut la lumière des hommes. Ce sauveur apparaîtra comme Maitreya (Messie) durant la 7e race. Cette croyance et cette attente sont universelles dans tout l’Orient. C’est une forme du 7° Principe (dernière création, génération). C’est un agrégat synthétique de tous les esprits. Il est l’auto-manifesté.
LA FAMILLE DE JOHANA
Les Évangiles nous parlent souvent des frères et sœurs du Seigneur.
Or le mot Seigneur a été introduit dans les Ecritures par saint Jérôme, dans sa Vulgate, au 4e siècle.
Quel était donc le mot antérieur que ce terme est venu remplacer ?
En remontant aux origines, c’est-à-dire aux étymologies, nous avons montré que c’est le mot Cri ou Kri, sanscrit, abrégé du grec Kyria, qui indique toujours une suprématie. On explique ailleurs que c’était le nom des déesses gauloises : Val-Kyrie.
Ce mot, dans le grec moderne, signifie Ma-dame. On lui a donné un masculin, Kyrios. Mais c’est le féminin seul qui est resté dans la liturgie catholique.
C’est Johana qui est appelée par ses disciples « Kyria », et, quand on dira dans les traductions modernes « les frères du Seigneur », cela signifiera les frères de Johana, qui avait aussi des sœurs.
Jacques est son frère, Jude est sa sœur (Jude, c’est Judith),
André et Pierre sont ses fils, Simon est le fils de Jude, donc le neveu de Johana.
Dans les Évangiles révisés, Pierre est encore appelé « fils de Johana ».
Chez les premiers Christiens, l’enfant porte encore le nom de sa mère.
Quant au père de Pierre, il n’apparaît pas, il a un rôle effacé ; cependant, nous avons pu le découvrir.
Dans le Dictionnaire des Sciences religieuses de Lichtenberger, nous lisons au mot Jean-Baptiste, après avoir rappelé la vie de Jean :
« Josèphe, dans sa biographie, nous parle d’un autre ermite, nommé Banus, qui fut son maître, pendant quelques années et s’était acquis par son genre de vie, tout à fait analogue à celui du Baptiste, un grand renom de sainteté et de sagesse.
Il y a pourtant, sous la ressemblance du costume et des habitudes, cette différence entre Jean et Banus, que celui-ci ne poursuit qu’un but de sanctification personnelle par des ablutions et des privations volontaires, et que celui-là est surtout préoccupé des péchés et du salut de son peuple. Aussi le premier n’est-il qu’un moine assez parent des Esséniens, tandis que le second se rapproche des anciens prophètes. »
Cet ermite que nous voyons près de Johana fut évidemment son associé dans la vie et le père de ses enfants.
COMMENT JOHANNA DEVINT JEAN-BAPTISTE
C’est sous Tibère, qui régna de l’an 14 à l’an 37, que Johana s’éleva comme une réformatrice, prêchant l’antique morale naturelle et le règne prochain de « Hévah », la Femme, ressuscitée à la vie sociale, ce qui irritait beaucoup les masculinistes.
Elle voulait qu’on se préparât à cette résurrection par la réforme des mœurs. Elle prêchait aussi la « justice » ; elle ajoutait à son enseignement des rites, invitant ceux qui venaient l’entendre à recevoir le baptême du feu, ce qui voulait dire l’initiation aux Mystères.
L’idée cachée au fond de ce mythe venait d’un fait de haute science enseigné par les Prêtresses dans les Temples, mais où seuls étaient admis les initiés.
« Le besoin du secret, dit Burnouf, fut un des besoins aujourd’hui les mieux constatés de la primitive Eglise. »
« Le centre duquel ont rayonné toutes les religions de la Terre est donc la Théorie d’Agni. » C’est-à-dire la glorification de l’amour féminin qui engendre le feu sacré, l’Esprit divin.
Quand les masculinistes écriront, plus tard, la légende relatée dans leurs Évangiles (les synoptiques), ils feront de Johana, Jean-Baptiste, et de son « baptême par le feu » un baptême par l’eau, laissant croire qu’il s’agissait d’une ablution (baptisma en grec) dans le Jourdain, supposant que l’âme se lave quand on lave le corps. Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agissait.
Le baptême de Johana avait une signification symbolique. Nous savons déjà que l’eau représentait le principe opposé au feu et que le feu symbolisait l’Esprit. L’eau qui est son contraire représentait l’ignorance, l’erreur et le despotisme, c’est-à-dire tout ce qui éteint l’Esprit et fait l’obscurité.
Le grand déluge symbolique, mis dans le passé de l’évolution humaine, représentait déjà l’effort tenté par les hommes pour éteindre la lumière de l’Esprit féminin.
Depuis, une multitude de légendes s’étaient propagées, rappelant ou amplifiant ce symbolisme.
Une secte dont nous allons bientôt citer le fondateur et étudier la doctrine, prenait le contrepied de tout ce qu’avait dit la Femme, renversant par ironie, et aussi par ignorance, toutes les vérités cachées dans les symboles.
C’est cette secte qui vint dire « c’est l’eau qui purifie ». C’est que l’eau, symbole de l’ignorance qui éteint les lumières, était le domaine du dieu mâle dans l’ancienne mythologie : Poséidon, Neptune, et on créa le baptême par l’eau, par opposition à la purification spirituelle par le feu.
On retrouve donc, au fond de ces disputes sur les rites, les luttes de sexes, éternellement entretenues par le malentendu qui résulte de l’ignorance de la loi qui régit la différence de polarisation sexuelle.
Les hommes se mirent à baptiser « par l’eau », et l’on fit remonter à Jean-Baptiste l’introduction de ce système.
Les ablutions étaient un souvenir du grand déluge symbolique dans lequel on avait représenté les hommes submergés pendant que la Déesse surnage dans la barque d’Isis qui porte le monde : Fluctuât nec mergitur. Et ceux qui renversent tout diront alors que Christos est un poisson.
Puis, dénaturant l’idée qui s’attachait au symbole, les Prêtres, qui représentaient le déluge comme une punition, prétendirent calmer la colère « des dieux » en jetant dans les flots des victimes expiatoires, des enfants, et c’est ainsi qu’on arriva à baptiser les enfants pour les purifier des fautes des pères.
Dans l’évolution des idées de l’antiquité, la vertu expiatoire de l’eau suit une gradation déterminée. Celle de la mer, qui primitivement avait symbolisé le grand déluge, passait pour plus efficace.
A son défaut, on employait celle des fleuves ; c’est pourquoi toutes les grandes religions masculines avaient leurs fleuves saints : le Gange, le Nil, le Jourdain sont célèbres sous ce rapport dans la mémoire des hommes.
Cependant, les historiens nous disent qu’on fut obligé de supprimer le baptême par immersion et l’ospasmos ou baiser baptismal, parce que tout cela provoquait la raillerie des contemporains.
Une des ruses des imposteurs qui renversèrent le premier Christianisme fut démettre dans la bouche de Jean des propos qui n’ont aucun rapport avec sa doctrine ; ainsi on lui fait dire : « Pour moi, je baptise d’eau pour vous porter à la repentance ».
Puis on crée l’équivoque autour de la personnalité divine et on nous représente « Jean » voulant mettre « le Père » à la place de l’antique Déesse Hévah. On lui fait dire : « Afin que nous ne restions pas les fils de la fatalité et de l’ignorance, mais pour que nous devenions ceux de l’élection et de la science et que nous obtenions le pardon des péchés commis, on prononce sur ceux qui doivent être régénérés et qui se sont repentis de leurs péchés, le nom de Dieu, le Père et le Seigneur de tous, et ce nom EST SEUL prononcé par celui qui conduit à l’eau, celui qui doit recevoir l’ablution. Car personne ne saurait dire le nom inexprimable (l’antique Hévah dont les Juifs ne prononçaient jamais le nom), et, si quelqu’un osait lui donner un nom, il se tromperait infailliblement. Cette ablution est appelée « illumination », parce que ceux qui apprennent ces choses sont éclairés dans leur esprit. »
Tout ceci n’est, au fond, qu’une parodie de la doctrine des initiés dans laquelle on a introduit les mots Père et Seigneur de tous, alors que Johana, qui appelait la Divinité « Sophia », ne voulait pas d’autres dieux que la Déesse-Mère « Hévah ».
La doctrine initiatique des premiers Chrétiens a été conservée dans les Ordres secrets ; on la retrouve dans le rituel des Rose-Croix dont nous parlerons plus loin.
La secte qui trahit le premier Christianisme, composée d’hommes vulgaires et ignorants, fit de Johana un personnage adapté à leur taille, lui donna leurs idées et mit dans sa bouche des propos violents contre les Pharisiens et les Sadducéens, qui étaient les intellectuels du temps, alors que ce sont eux qui tenaient ces propos.
Dans Matthieu, ch. III, 7, on fait dire à Jean : « race de vipères ».
On appellera Jean « fils du Tonnerre ».
On nous le montre comme attaquant avec âpreté les grands, auxquels il donnait tous les vices. Il inquiéta ainsi le tétrarque de la Galilée et de la Pérée, Hérode Antipas, fils d’Hérode le Grand, qui l’emprisonna d’abord, puis le fit mourir, dira-t-on.
La manière dont sa mort est racontée dans les Évangiles a pour but de faire croire que c’était un personnage odieux aux femmes.
Autre preuve psychologique qui nous fait comprendre que Jean était Johana, car c’est toujours en déléguant à des femmes leurs haines et leurs vengeances que les lâches font attaquer celles qu’ils n’osaient pas sacrifier eux-mêmes. On raconte que c’est la fille d’Hérodias, femme de Philippe, frère d’Hérode, qui demanda sa tête (Matthieu, chap. XIII. 1 à 12), et que c’est vers l’an 30 que la décollation de Jean-Baptiste eut lieu.
Or nous ne croyons pas à cette mort, parce que nous avons la conviction que Jean l’Évangéliste et Jean le Baptiste sont deux formes masculinisées delà même femme, laquelle, après avoir été emprisonnée à Jérusalem par Hérode, fut envoyée en exil, à l’île de Pathmos, où elle écrivit l’Apocalypse, dans un âge avancé, on dit à 95 ans.
La réalité historique de ce personnage ne peut pas être mise en doute, d’abord parce qu’elle a laissé des livres ; ensuite parce qu’une multitude d’auteurs du temps se sont occupés du Christianisme primitif qu’elle a fondé, et l’ont nommée ; enfin parce que l’historien Josèphe, qui ne connut pas Jésus, connut Johana et lui consacra quelques lignes dans son Histoire des Juifs. Les voici :
« Plusieurs Juifs ont cru que cette défaite de l’armée d’Hérode était une punition de Dieu à cause de Jean surnommé le Baptiste.
C’était un homme de grande piété, qui exhortait les Juifs à embrasser la vertu, à exercer la justice, et à recevoir le baptême après s’être rendu agréables à Dieu en ne se contentant pas de ne point commettre quelques péchés, mais en joignant la pureté du corps à celle de l’âme. Ainsi, comme une grande quantité de peuple le suivait pour écouter sa doctrine, Hérode, craignant que le pouvoir qu’il aurait sur eux n’excitât quelque sédition, parce qu’ils seraient toujours prêts à entreprendre tout ce qu’il leur ordonnerait, crut devoir prévenir ce mal pour n’avoir pas sujet de se repentir d’avoir attendu trop tard pour y remédier.
Pour cette raison, il l’envoya prisonnier dans la forteresse de Mâchera, et les Juifs attribuèrent la défaite de son armée à un juste jugement de Dieu d’une action si injuste. »
Si ce qu’on appelle la décollation de Jean-Baptiste avait eu lieu réellement, Josèphe l’aurait raconté. Au lieu de cela, on trouve que le texte primitif de cette citation a été altéré.
Finalement, on l’a rendu par ceci : « Redoutant l’éloquence et la popularité de Jean, car les Juifs étaient prêts à suivre tous ses conseils, Hérode trouva bien meilleur de prévenir tout mouvement populaire, et de le faire périr, que d’avoir, une fois la révolution déchaînée, à gémir sur la catastrophe. »
Nous ne savons pas si c’est Josèphe qui a masculinisé Johana, ou si ce sont les reviseurs qui ont remanié son livre, les mêmes, sans doute, qui y ont intercalé un passage sur Jésus.
C’est pour effacer la personnalité de Johana et la supprimer de l’histoire qu’on raconte la mort tragique de Jean-Baptiste.
Mais l’histoire de Jean se déroule après cet événement avec d’autres surnoms : l’Ancien, l’Evangéliste, etc.
M. Leblois, dans Les Bibles, nous dit : « Il y eut dans les temps apostoliques plusieurs Jean ; le Nouveau Testament seul en connaît six ; comme il y a eu plusieurs Jacques, plusieurs Simon, plusieurs Marie, etc. »
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L’ Apocalypse de Saint Jean est un livre du Nouveau Testament particulièrement obscur. J’ignore si les quelques pistes de recherche que l’auteur présente satisferont les amateurs éclairés et les « Enfants de la Science » mais j’ai tendance à en douter. Ce texte est avant tout une prophétie de nature initiatique et symbolique dont la portée relève de l’eschatologie. Parler de développement personnel, certes, mais on aimerait en savoir davantage. En évoquant la grande Prostituée, des allusions à la grande prostituée des Philosophes, à son pendant, la vierge hermétique (la Femme dans son travail d’enfantement) et à la pierre philosophale n’auraient pas été superflues…Le Livre aux sept sceaux semble toujours hermétiquement clos à ceux qui ignorent la cyclologie traditionnelle car comme certains manuscrits des Old Charges le disent : tout est donné sauf la clé…
J’ai commandé le livre avec l’espoir d’y voir plus clair…..pour le moment j’ai à peu près compris la Jérusalem céleste grâce à JB Willermoz au Rectifié, le reste, rien de rien.
Si je suis éclairé par l’étincelle divine, je te le signale