Un BodyPainting maçonnique aux Imaginales d’Epinal

Une intéressante contribution ajoutée par Geplu ce matin (9 juin), avec l’analyse d’une prof de philo qui voit des fonctions spirituelles à ces « peintures corporelles ».

Je trouve ces images d’Épinal naïves mais drôles. « Vitriol » sur la cuisse d’une jeune femme. « Imaginales » à l’endroit qui fait tant fantasmer.

Cette oeuvre a été réalisée par une association qui s’appelle Pygmalion. Ses membres ne sont pas francs-maçons mais semblent avoir leur idée sur la façon d’anoblir cette vénérable institution…

En tout cas, cela nous change du regard de tous ceux qui la haïssent.

« un bon croquis vaut mieux qu’un long discours »…
Savez-vous que la GLDF a récemment fait travailler ce sujet inter-loges : comment notre obédience peut-elle communiquer avec le monde profane ? Et ben voila, la réponse est toute trouvée…

Tartuffe, pièce attribuée à Molière, due à la plume et à l’esprit de Corneille.
« Il est de faux dévots ainsi que de faux braves ».
Acte I, scène 5.
« Pour être dévot, je n’en suis pas moins homme ».
Acte III, scène 3.
Etc.

Cachez ces seins… et symboles que je ne saurais voir !
Tartuffe

@ 62
hé oui, nous en sommes tous là. Depuis trois siècles, pour les Maçons, et sans doute bien davantage, notamment pour l’ineffable Naudon…. Mais il me semble que les sociétés française et belge sont dans une telle gadoue qu’elles attendent, avec résignation et nostalgie, l’homme à cheval qui leur rendra des raisons d’agir.
Le Centre d’Union est aujourd’hui fait d’égoïsmes, d’ostentation et d’indifférence.; ça doit péter un jour…
Il faut relire les philosophes des Lumières érudites et des Lumières radicales.
Et peut-être méditer sur Onfray et quelque philosophe anglais dont le nom m’échappe et qui fut interdit par tous les clergés…

ça me rappelle l’oeuvre d’art signé Jacob De la Fond, ou plus récemment ce japonais dans une expo photographiant une paire de lunettes tombées à terre, au cas ou ??? ou la femme de ménage licenciée pour avoir laissé trainer une wassingue (serpillère en français), elle avait cru que c’était aussi une oeuvre, Derrida et sa déconstruction sévit aussi et autant sur l’art que l’école (Bourdieu en supplétif), la culture en général, la langue, la symbolique républicaine ….et même sur les ratons laveurs me souffle t on …sur le repli du FM de la vie publique, Avantin ou Venise, tout à fait d’accord, sauvegardons entre nous les valeurs, les espoirs, puisque tout va à vau l’eau, conservons les oeuvres au sec, attendons la décrue, les cerisiers refleuriront, nous avons un passé, cultivons le en nos mémoires, car ils veulent aussi et surtout détruire notre mémoire, pour y greffer une puce à la place, avec le contenu qu’ils souhaitent, le sur humain disent ils, plein de puces .., revoyez la série des Matrix, le danger ? s’habituer …..TINA, thère is not alternative ….les déconstructeurs ? à détruire. comme les doryphores dans un champ de patates.
comme disait le général à la porte du bordel à son ordonnance, « vous gardez là mon sérieux, moi, je monte un peu la haut pour m’amuser avec ces dames »

@ Benjamin Rathery
Nous avons été une autorité morale et spirituelle tant que notre travail s’est exercé sur nous-mêmes, sur nos esprits, nos consciences, notre morale.
L’Ordre n’est pas un organisme qui marche au pas. Il ne le sera jamais.
Il n’y a pas lieu, pour moi, de faire pression sur une société qui, de nos jours, va à vau l’eau.
C’est l’homme qui est la pierre brute qui doit voler en éclats ; pas les groupes sociaux qui incarnent si bien les paroles perdues.
On ne fait pas de bonne maçonnerie avec des consciences glauques. Et en France, vous venez d’en prendre !
Il y eut toujours, dans l’histoire, des francs-maçons qui œuvraient à couvert et qui ont fait avancer l’humanité, parce qu’ils étaient là.
Je vois aujourd’hui trop de frangins et de frangines qui prétendent se substituer aux partis et aux syndicats.
Je pense que notre rôle n’est pas celui-là.
Aujourd’hui, cela déborde, sans allusion perfide pour mes amis français, et cela s’étale sur la place publique. J’y vois, hélas, un grand chaos. Et ne mêlons pas « le sacré » à tout cela. Que la maçonnerie demeure conviviale, tolérante, initiatique et bienfaisante, elle agira par contagion. Dans le bon sens du terme.

@ Benjamin Rathery
Enfin ! c’est bien pensé et bien dit.
Une restriction : « la franc-maçonnerie doit s’extérioriser, c’est utile et nécessaire ».
Je ne suis pas de cet avis.
Nous sommes, ab origine, une société discrète, mais avec un secret.
Nous sommes encore très nombreux à penser et à agir comme cela.
Sans pour autant vouloir brûler vifs les exhibitionnistes….

Dans le cadre du festival « les imaginales d’Epinal », festival littéraire dédié aux littératures de l’Imaginaire, il y a des créatures féminines dont le corps est peint. Ce sont des elfes, des fées et autres personnages fantastiques. Pourquoi pas ?
Que les organisateurs des « Imaginales maçonniques d’Epinal » prennent cette initiative de Body-painting maçonnique pour faire comme en face en dit long sur leur rapport à la symbolique maçonnique et au sacré (ou sacralisé).
L’initiateur a-t-il pensé, un millième de seconde, à ce que penseraient nos sœurs d’une telle exhibition. S’il l’avait fait, on peut espérer qu’il se serait abstenu. Peindre le corps nu d’une femme avec les symboles du temple maçonnique ???? Je cherche le sens de cela ?
Je n’y vois que vulgarité « événementielle ». Je n’y vois qu’exhibition de cette société du spectacle (Debord, reviens, ils sont devenus fous). Je n’y vois que confusion entre le sacré et le profane.
Que la franc-maçonnerie s’extériorise, soit, c’est utile et nécessaire. Qu’elle le fasse à travers l’expression artistique, soit, c’est plus que nécessaire. Pour autant elle doit le faire en essayant de monter le niveau par rapport au monde profane et non pas en se rabaissant au niveau de la vulgarité de la société du monde profane.
Entre peindre des symboles sur des toiles ou des assiettes de faïence et peindre des symboles sur le corps nu d’une femme, il y a plus qu’une marge….
Il en est de ce body-painting comme il en est de la course à pied d’adolescents entre les tombes de Verdun. Un vent fou souffle-t-il sur les Vosges ? Cela veut dire que plus rien n’est sacré dans notre société. Le rôle de la FM serait, justement, de montrer qu’il existe encore des valeurs « sacrées » dans notre société. Ce serait là sa justification.
Quand on sait que l’initiateur de cette exhibition de cirque est un haut dignitaire du REAA, on ne peut que s’interroger sur le devenir de ces hauts-grades au GODF !
C’est plus que grotesque, c’est plus qu’un manque de discernement, cela relève de la confusion mentale.

Je trouve que c’est une belle initiative. Je ne vois pas pourquoi la nudité qui est inscrite dans la nature de l’homme devrait choquer et les dessins ou aquarelles et peintures sont à peu près aussi vieux que la maçonnerie moderne. Cet art pictural fait partie de la tradition maçonnique. Si toutefois on considère comme Jaures que « garder la tradition, c’est garder la flamme, pas les cendres ! »

Je ne sais ce qui est le plus minable : de cette idée de mauvais goût ou de l’argumentation inconsistante pour justifier ce bodypainting. Un symbole doit impérativement avoir un sens pour que toutes les outrances accèdent au statut d’oeuvre d’art. Celui-ci en étant singulièrement dépourvu, il ne reste que la vulgarité : l’utilisation d’un corps de femme sans autre motivation que de l’exhiber relève de la même logique que celle du calendrier de pin up pour vendre du matériel agricole. Celà ne grandit pas Epinal.

Quelle honte ! Qui a passé commande de cette imbécillité et au nom de qui ? Pas au nom de la Franc-maçonnerie, j’espère… Le commanditaire aura-t-il le courage de se dévoiler ?

Pourquoi ce débat sur nos colonnes ? Il serait mieux à sa place sur fesse-bouc.
Je me répète : quo non descendet ? Jusqu’où l’Ordre ne va-t-il pas rouler dans les bas-fonds de la vulgarité et du tintamarre de cervelle ? Nous avons déjà eu Léo Campion, à poil et flamberge au vent avec son ruban de maître.
Nous progressons. A quand Trump comme GM international ?

Voilà de quoi illustrer la mixité au GODF!!!…

Sur le sujet et bien au delà (l’art plastique futur, le corps, la relation à l’argent, la morale, l’esthétique…) je recommande le grand roman de José Carlos Somoza « Clara et la pénombre », chez Actes Sud (Babel). L’ouvrage a une dizaine d’années.
Jack Chaboud

la Loge d’Epinal est elle mixte? Je ne le pense pas. Les Sœurs à qui j’ai montrè cet article ont, pour le moins, peu apprécié ce « body painting » que ne manqueront pas de reprendre les sites maçonniques et anti maçonniques.

JE PENSE à nos Sœurs en maçonnerie et à nos épouses qu’en pensent elles?
moi j’y deux choses, un non respect de la Femme et un non respect du Symbolisme maçonnique
il est vrai que certains voient dans une poubelle de l’art!

En lisant certaines contributions, je me pose la question suivante: pourquoi devient on Maçon, et en fait que cherchent on?
GABAON

Au 18ème siècle, nos ancêtres peignaient les symboles maçonniques sur des assiettes ou des pots en faïence.
Au 21ème siècle, certains considèrent qu’il est bien de peindre ces mêmes symboles sur le corps des femmes !
Trois siècles ont passé. Le support a changé mais il paraît, selon un certain « Marcus Diplodocus » (n°23) que c’est de l’art qui doit s’imposer à la « Gériatro-cratie (sic) maçonnique et de tous poils ».
Le « jeune » Marcus Diplodocus est donc susceptible d’évolution et de progrès ! C’est tout le mal que je lui souhaite.

34 commentaires sur un non-évenement,la GLUA doit bien se marrer!

Essayons d’être franc et honnête dans cette affaire:
– d’abord, ne nous voilons pas complètement la face, l’homme, qu’il soit profane ou initié, n’est pas totalement insensible devant cette beauté féminine, quoiqu’il ne voit pas l’intérêt de passer par cette peinture sur corps pour la mettre en valeur; et il me semble qu’au cas présent elle n’aurait vraiment pas besoin de cela pour être remarquée.
– le frère que je suis est bien plus perplexe et dubitatif, sinon réservé.
Je veux bien qu’à Epinal on se creuse la tête pour renouveler les fameuses images du dit Epinal, mais je crains que cette initiative contemporaine fasse preuve de bien peu de modernité ou d’originalité.
D’autre part, d’autres l’ont dit, je ne vois pas bien en quoi la Franc-maçonnerie gagne quelque chose dans cette manifestation picturale.
Par ailleurs, je crains un effet pervers, que des « Imaginales d’Epinal » 2016, on ne retienne plus que cela: une belle silhouette féminine qui se fait panneau publicitaire pour la cause (!?!) maçonnique.
Une femme sandwich en quelque sorte.
Ca serait un peu court, non?
En deux mots, passé le premier sourire d’appréciation – sur des critères absolument pas maçonniques, convenons-en – cette initiative ne sert ni la Franc-Maçonnerie ni, me semble-t-il, la cause des femmes.
D’autant qu’on n’en comprend pas bien ni la motivation, ni la nécessité.
J’observe également deux autres points:
– pour le moment aucune réaction de femmes, autant profanes qu’initiées.
Je ne suis pas certain qu’elles apprécient ou approuvent toutes, ni comme femmes, ni comme soeurs,
– par un curieux constat ironique, j’observe que des intervenants dont les pseudos témoignent qu’ils ne s’expriment pas sur le site d’habitude, ont moins de scrupules à le faire ici.
A moins qu’il ne s’agisse d’habitués du site qui s’inventent un nouveau pseudo pour l’occasion (des fois que leurs épouses ou leurs soeurs, ou leurs Soeurs en loge, ne les identifient peut-être…).
Je ne vais pas dire que cela est honteux, contraire à la morale, que c’est à interdire.
Après tout, cela a été fait par des adultes consentants (ici autant masculins qu’au moins une féminine).
Mais bon…. une fois l’effet de surprise passé, que reste-t-il?
………………….., eh bien oui, on est bien d’accord !

Ce qui reste exécrable pour un FM c’est la viol de cette maxime kantienne « Agis de telle sorte que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme un moyen ».
en ce cas d’espèce, utiliser une personne humaine comme une toile, comme une toile pour faire sensation, comme une toile pour faire sensation et du commerce reste un comportement indécent qui provoque la réification de la personne humaine et toute la perte symbolique qui en résulte, et en cela ici l’appel à une bien hypothétique expression artistique ne change rien à cette faire, qui reste très dégradante pour la personne, même si c’est sa volonté… comme dans la prostitution ?
Que des Sœurs s’expriment !

Fouquet montrait dans ses armes un écureuil assorti de la devise : « quo non ascendet ? »
Un certain « Ordre Initiatique » contemporain mérite la devise : « quo non descendet ? ».

Personne n’a rien compris !! C’est à Epinal !!! Donc la peinture, l’imagerie maçonnique, sur corps FAIT PARTIE du rituel d’initiation quelle que soit la loge !!! S’il le faut nos SS de la GLFF, sous leurs robes… va savoir… SS qui sont étrangement muettes par ailleurs…
En tout cas on rigole bien !!!

Je ne sais pas faire si bien que vous del’art maçonique mais je partage ma passion et recherche avec vous. https://instagram.com/p/1MVHlVzNuB/

De quoi se demander ce qui choque certains ici !
La nudité ?
La franc-maçonnerie ?
Le fait d’associer les deux ?
Il est à noter que ceux qui jouent les vierges effarouchées face à ces oeuvres d’art sont peut être ceux qui font des concours de vannes les plus salasses de fin d’agape.
Rapprocher cette expression artistique du refus du sexisme en loge maçonnique est une drôle d’idée.
Il me semble que les decors maçonniques sont bien plus honorés en les associant à la beauté artistique et plastique que souvent salis par les comportements qui s’etalent sur les blogs et ailleurs …
Les oeuvres d’art sur corps nu ont leur place dans l’expression artistique.
Et les FM ne doivent-ils pas avoir humour, auto-dérision et désacralisation de ce qui n’est qu’accessoire (décors ?)

Tous ceux qui voient ce body-painting maçonnique d’un mauvais oeil, et PAS L’OEIL QUI VOIT TOUT (Lol), vous êtes des NULS, vous n’avez rien compris à l’Art Royal ! Mais bon, en Franc-Maçonnerie comme en gériatrie, comment attendre des progrès, ou même des décisions courageuses, quand dans sa Loge, on n’a que du 3e (ou du 4e ?) âge……..???…les « vieux » ont-ils vraiment envie de progrès ? NON !!! juste envie de faire du « sur place », aidés des traditions surannées, HONTE à VOUS la Gériatro-cratie, maçonnique, et de tous poils ! Vous êtes des Dinosaures……….et vous disparaîtrez ! Honte à vous, vous êtes BIDON !
C’est de l’ART, rien d’autre !

j’ai 50 ans de maçonnerie et je suis atterré de voir ce triste spectacle
bon je suis un vieux con mais j’ai en mémoire les FF qui ont payé de leur vie leur appartenance à la Maçonnerie
pierre Lengyel

Je plains cette jeune femme. J’espère qu’elle a été correctement rémunérée, pour sa prestation, par les margoulins spinaliens. Pourra-t-elle dire plus tard à ses enfants qu’elle a posé pour la grandeur de la Franc-maçonnerie ?

l’homo festivus !!! ce genre de happening digne de la fac de vincennes en 72 ou de Nuit debout va plaire à Libération, Les inrocks, Telerama ,Canal plus et france inter… J’espère que la modèle ( et pourquoi pas UN modèle du reste ?) est aussi une intermittente du spectacle…. ça lui fera des sous…
Sinon l’organisateur de cette manifestation, il prend quoi comme herbe qui fait rire ???

a vomir de bêtise …. mais c’est  » normale »: transparence absolue, l’underground au grand jour est la loi
le corps de la femme n’est même en FM donc plus qu’un support une colonne d’affichage qu’une raison d’une exploitation commerciale pour un dévergondage zozotérique
Stade zéro du symbolisme… à vomir de conneries quant à Oréfice, il est à vrai dire un spécialiste du trou reconnu.

Un auteur mâle qui s’affiche en couverture dans le plus simple appareil, il singe un autre auteur !
En revanche, des modèles féminins qui posent nues avec des peintures maçonniques sur le corps, ça c’est de l’information et de la culture !!!
Décidément, la morale devient rigide lorsque le reste ne l’est plus 🙂
A moins que l’arbitraire en soit la cause ?
Une chose est certaine… les outils de mesure ne servent plus au jugement.
Dans tous les cas, comme disait Oscar Wilde, « S’il est au monde quelque chose de plus fâcheux que d’être quelqu’un dont on parle, c’est assurément d’être quelqu’un dont on ne parle pas ». Et pour cela : MERCI HIRAM 🙂

Ne voulant surtout pas passer pour un vieux con de Maçon, je ne sais plus trop quoi penser. Nous approchons-nous du fond ? Que se cache-t-il derrière cette « originalité » ? Un effet de mode, de l’art discutable et racoleur ou du fric malsain ? Cette présentation se répétera-t-elle dans un lieu public ou dans un Temple pendant une Tenue ? L’organisateur Jacques Orefice peut revendiquer être un « body-painted » mais son « intellectualité » ne m’intéresse pas. J’ai trop de respect pour la tenue maçonnique, ses décors et tout ce qu’ils représentent. « Eh! La France, ta Maçonnerie fout le camp! » comme aurait crié la Comtesse du Barry en 1773. Ceci dit, le (beau) corps féminin peut être le merveilleux support d’une expression véritablement esthétique. Mais qu’on nous foute la paix, à nous, Francs-maçons !

Rien de vraiment etonnant pour qui connait le « gentil animateur » de ces Imaaginales d Epinal après ses récentes divagations sur le symbolysme du ..placenta.

A bas la culotte !

En accord avec le Frère anonyme, je trouve stupide, irrelevant, aux antipodes des valeurs maçonniques la sinistre pantalonnade du body painting. Une fois de plus, je ne peux que dire mon hostilité à cette tendance actuelle de la maçonnerie à courir après le temps et à s’immerger dans l’actuel et l’éphémère.
Qu’aurons-nous à dire au monde profane si nous épousons aussi fortement cette « insoutenable légèreté de l’être ».
Continuons sur cette voie et bientôt il ne restera qu’un champ de ruines de la Tradition vivante que nous sommes censés incarner.

Ni nue, ni vêtue, mais dans un ébat des sens ?

Si la maçonnerie se met au diapason de la société du spectacle, je ne suis pas certain qu’elle en sorte grandie. Ceci dit, le frère Festivus Festivus doit être sacrément content!

On comprend enfin les vertus rares de la mixité.