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Géplu.
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j’ ai fait partie de la GLTSO où il ne résidait aucune entraide, les inimitiés étaient fort nombreuses et l’ entreprise de restauration dans les locaux était tenue par un frère, il n’ y’ apas de petits intérêts.
je demeure atrocement décu, dés lors qu’ un frère était en difficulté, on lui faisait comprendre de ne pas partager le repas, noblesse de coeur quand tu nous tiens.
je n’enrichirai pas beaucoup les commentaires, sinon à dire que je suis également d’accord, y compris avec les danger de formatage de la pensée (par désir de reconnaissance), ayant de fortes tendances iconoclastes vis à vis de la pensée majoritaire (du fait de ma volonté de reconnaissance du désir cetainement) je connais bien le sentiment décrit…( j’y résiste par esprit de contrariété d’une part et parce qu’en certains domaines je demeure reconnu au sein de mon atelier…) il peut effectivement conduire à changer d’atelier, dans l’espoir de trouver de l’herbe plus verte…ou à partir…
Tout à fait d’accord avec l’analyse de Libéro… Nous sommes perfectibles, il faut bien le reconnaître (et y a du boulot !!!)…
Je crois que ce témoignage représente assez bien le parcours de ceux qui nous quittent. Je ne serai sans doute pas le seul Maçon qui pourra, expérience vécue, dire : ce que cet ancien frangin décrit ne m’étonne pas. Il m’arrive parfois de penser que si ma vie sociale était plus riche que ce qu’elle est, la Maçonnerie aurait du coup moins d’importance pour moi ; et qu’alors je supporterais moins facilement les défauts de certains ! En tout cas, le danger serait grand de ne pas porter une attention toute particulière à sa remarque suivante : “[J’ai] constaté chez la plupart des Frères, un certain « formatage pavlovien de la pensée » que l’on pourrait qualifier de « sectaire ». Dès que l’on ne rentre pas vraiment « dans le moule Franc Maçon », on ne vous exclut pas : vous vous excluez vous même, petit à petit, ne trouvant plus d’interlocuteurs, même si vos « Frères » demeurent très courtois à votre égard.” Ce gars balance dans notre jardin, une pierre brute qu’il n’a pas souhaité tailler. Mais je ne vois pas d’autre réplique à son geste que de repasser moi-même devant mon miroir.