GLNF. Un courrier de l’ancien secrétaire du Conseil des sages

Publié par Jiri Pragman

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dimanche 21 août 2011
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  • 4
    Severino
    22 août 2011 à 3h10 / Répondre

    Rex aeternum vive!!!

  • 3
    STOLKIN
    21 août 2011 à 13h32 / Répondre

    …et le déballage continue….
    enfin de clôturer avec une boutade : Si Koch est le bacille , il est clair que tout le corps français est malade.

  • 2
    georges
    21 août 2011 à 10h30 / Répondre

    Permettez moi de citer Alain Juillet dans le texte :  » Après sa diffusion à tous les membres du Suprême Conseil et aux Provinces, j’ai par deux fois tenté dans l’intérêt de la GLNF…  » Voilà donc l’homme qui devrait sauver la GLNF qui ne fait pas la différence entre le « Suprême Conseil » (Juridiction des Hauts Grades du REAA encore appelé SCPLF du REAA) et le « Souverain Grand Comité »… chambre haute de la GLNF. Après ça comment ne pas croire que la crise est orchestrée par la juridiction des hauts Grades du REAA où Alain Juillet est 32ème si mes informations sont exactes. Tout cela n’est pas sérieux. amitiés à tous, Georges.

  • 1
    georges
    21 août 2011 à 9h03 / Répondre

    De retour d’un séjour de vacances chez mes enfants dans le Tarn, je découvre cette publication d’Alain Juillet. Je dois vous dire que je suis très réservé concernant ce Monsieur qui se veut comme un sauveur providentiel. Autant je connais sa carrière dans l’agro alimentaire, ses états de service comme agent actif du SDECE, son rôle à la DGSE, autant je n’ai jamais eu connaissance de son action dans notre maison. S’est-il placé au service de ses frères comme Officier Provincial ? Il ne suffit pas d’avoir servi la France pour être capable de conduire une maison comme la nôtre. Ce sont des sujets tout à fait différents. Je dirai même que la Maçonnerie ne doit surtout pas être dirigée par un professionnel des services secrets car ce serait la justification des pires fantasmes dont nous accuse les marronniers de la presse. La GLNF est une fraternité spirituelle d’hommes libres qui ne doit pas entrer au service d’un réseau politique et économique international. Ne mélangeons pas nos travaux avec la politique. Par pitié mes frères ! Après la déclaration de Claude Charbonniaud, voilà son ami Juillet qui aimerait se glisser dans ses pantoufles. Je crois sincèrement que tout cela n’est pas sérieux. amitiés à tous, Georges.

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