« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
La formule de Legros est plaisante, synthétique et juste. Les dictionnaires maçoniques se contredisent, affirment ce qui n’est pas, et ne parlons pas d’Internet, qui diffuse en permanence des fables mille fois répétées, recopiées et crues avec avidité.
Elles conviennent et plaisent à ceux qui privilégient le rêve et ne veulent pas connaître la réalité. Admettons, c’est leur droit, et ils sont de toute façon majoritaires. Exemple : Wellington, le frère Wellington. On nous produit de nombreux témoignages de son appaftenance, et pourtant, il existe une lettre de sa main par laquelle il certifie n’avoir jamais adhéré à cette association.
Le grand historien Jean Tulard a coutume de dire en Sorbonne : « l’histoire, c’est l’art de raisonner sur des documents ». Pas de documents (comme pour Sade, Charles de Lorraine, Beethoven, Dunant !!), pas de raisonnement possible. Et dès lors, toutes les « traditions orales » prennent leur fabuleux et poétique envol…
L’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours…