Paris. Le Franc-mac, l’abbé et le journaliste

Publié par Jiri Pragman

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
mercredi 4 janvier 2012
  • 3
    Jiri Pragman
    5 janvier 2012 à 11h53 / Répondre

    Ah, le parisianisme! Enfin, qui doit comme on dit dans nos régions. Mais, à vrai dire, vu le sujet, on aurait plutôt imaginé un Frédéric Lenoir pour animer un tel sujet historico-philosophico-religieux plutôt qu’un François Koch. Par contre, on aurait bien vu Koch non en modérateur mais bien en débateur face à un Hasquin (généralement impressionnant dans ses interventions).

  • 2
    Pilou
    5 janvier 2012 à 10h19 / Répondre

    Et bien, quel plaisir de lire l’intervention de Christian Laporte dont je parage absolument l’avis. De toute manière, les compétences de certain(e)s ministres de la « Fédération » sont bien connues. Et pourquoi ne pas avoir invité le duo « Jiri-Laporte » après tout. Je devrais écrire au F. R. H. à Paris…
    Ceci dit, Hervé Hasquin a tout de même dévoilé dans son livre le F. H D…, ce qui est évidemment abslument en contradiction avec nos principes.

  • 1
    Christian Laporte
    4 janvier 2012 à 21h22 / Répondre

    Tudieu, si j’ose ainsi m’exprimer, est-ce qu’il n’y aurait pas – ou plus – l’un ou l’autre journaliste sérieux et connaissant surtout bien le sujet en Communauté… pardon dans la Fédération Wallonie-Bruxelles et donc intellectuellement capable – comme dirait notre binamé secrétaire-général adjoint de l’OCDE – pour faire de cette rencontre entre les deux éminentes personnalités que sont Hasquin et de Beukelaer un grand moment de débat, que dis-je, un feu d’artifice dialogal, en terre parisienne? Je ne dis pas que l’ami Koch n’y connaît rien mais, Madre de Dios, un peu de fierté belge et francophone, ça n’a jamais fait de tort…

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous