7 Obédiences maçonniques face au financement des lieux de culte

Publié par Jiri Pragman

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jeudi 7 avril 2011
  • 6
    EMEREK
    11 avril 2011 à 22h20 / Répondre

    @Myrrhman

    Avec mes excuses pour cette réponse tardive,cet article s’étant retrouvé rapidement éloigné dans les pages .
    Votre argumentaire est ma foi très convainquant et certainement valable pour la LNF dont la figure de proue est Roger Dachez .Mais sans lui ,cette obédience très attachante serait-elle dans les signataires …pas sûr…

    Quant à la GLdF ……vraiment ,connaissant beaucoup de frères de cette obédience et ayant déjà rencontré le GM Alain-Noël Dubart ,elle est à mille lieues d’une quelconque volonté de se faire reconnaître.
    Les préoccupations de cette obédience seraient essentiellement de poursuivre une voie originale alliant la maçonnerie et les préoccupations éthiques et humanistes hors politique .
    La GLTSO procéde peut-être du même raisonnement…On connait les liens privilégiés GLdF-GLTSO

  • 5
    Myrrhman
    9 avril 2011 à 11h11 / Répondre

    @EMEREK

    « Il faut plutôt chercher du côté de leur volonté de rester à l’écart de la politique et de ne faire que de la Maçonnerie,hors des sentiers profanes …. »

    La maçonnerie française s’est toujours inscrite dans un projet politique, comme le rappelle Roger Dachez. Il faut relire Joseph de Maistre, les actes du convent des Philalèthes, mais aussi les minutes des Conseil de l’Ordre et des Convents du GO dès les années 1780, ou ce qu’écrivaient les premières loges de la GLSE (l’ancêtre de la GLdF). Rappelons d’ailleurs que c’est une loge de la GLSE qui pour la première fois initia une femme en France, car s’inscrivant dans un projet politique féministe, socialiste et libre-penseur.

    La tendance latine de la FM universelle (d’autres l’appelle libérale et adogmatique) s’est toujours distinguée de la branche anglo-saxonne par sa « sécularité ». Nier son caractère séculier, c’est implicitement faire allégeance à la tendance anglo-saxonne.
    La LNF, à la pratique « régulière » s’inscrit pleinement dans la tradition française, alors que la GLdF montre une volonté de s’en extraire.

    Mon Très Cher EMEREK, tu vas donc dans mon sens, la GLdF recherche désormais la reconnaissance de Londres. C’est son droit, et grand bien lui fasse!

  • 4
    EMEREK
    8 avril 2011 à 22h56 / Répondre

    à Myrrhman….

    Je ne pense pas que cette interprétation, en ce qui concerne la GLDF et la GLTSO ,soit pertinente ….
    Il faut plutôt chercher du côté de leur volonté de rester à l’écart de la politique et de ne faire que de la Maçonnerie,hors des sentiers profanes ……

    Par contre, vous auriez pu remarquer que la LNF …obédience elle aussi parfaitement régulière et tout à fait éligible à la reconnaissance anglaise de part sa pratique impeccable et compléte du rite anglais,…….fait partie des signataires .!!!

  • 3
    chris
    8 avril 2011 à 12h17 / Répondre

    Commémorer doit servir à « résoudre les problèmes du présent » et à éviter de refaire les mêmes erreurs, sinon à quoi bon? Alors oui aux « commémo » et gardons à l’esprit ce qu’il faut éviter… »profitons des erreurs du passé pour nous « grandir ».

  • 2
    Hayt
    8 avril 2011 à 11h10 / Répondre

    La France devient de plus en plus un musée (pas forcément des horreurs) où les « commémorations » et les « célébrations » du passé deviendront plus importantes que la résolution des problèmes du présent. Cette évolution-là me fait peur…

  • 1
    Myrrhman
    8 avril 2011 à 11h03 / Répondre

    La GLDF et la GLTSO ont disparu du club des 9? Elles attendent avidement de récupérer la reconnaissance?
    😉

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