Le maniement du raisonnement analogique dans l’apprentissage maçonnique: transférabilité du sens et abstraction du langage

Publié par Jiri Pragman
Dans Divers

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
mercredi 20 juillet 2011
Étiquettes : , ,
  • 17
    calvariam
    11 août 2011 à 7h54 / Répondre

    des maçons qui reprochent à des universitaires leur langage abscon et hermetique aux profanes…c’est trop drôle!
    Et imaginez quand il s’agit de frères universitaires! (si, si, ça existe!)
    En attendant, l’abstract décrit parfaitement la méthode maçonnique, ça nous change des thèses historiques sur la franc maçonnerie (les femmes en franc-maçonnerie, c’est à la mode en ce moment, allez savoir pourquoi…)
    Je vais aller lire cet article….

  • 16
    Flupke
    23 juillet 2011 à 15h36 / Répondre

    à Spahi

    Mon parrain ds les Hauts Machins

    il savoure avec une retraite bien méritée selon la phrase consacrée (hihi) son retour dans le giron de « Notre Sainte Mère l’Église » au soleil.

    Mézigue

    tout est dit dans mon pseudo ……….. pour ceux qui connaissent Quick et Flupke et leurs espiègleries avec les pandores … comme eux … je taquine les gardiens de l’improbable temple maçonnique … et ils marchent ils courent …

  • 15
    spahi
    23 juillet 2011 à 12h35 / Répondre

    @Flupke,
    Ben, j’ai aussi dû te relire ton pt 2.
    « …
    Dans cette nouvelle ne fait que décrire des personnages qui existent, mon parrain pour les hauts grades a viré (avec l’âge et l’approche de la faucheuse mystique catho et nous a quitté) ……… et oui c’est plus fréquent qu’on ne le dit ! … »
    je connais d’autres « cas »…
    Bon , par pure charité chrétienne, j’espère que ton parrain n’a pas rejoint l’Orient Éternel plutôt que le Paradis. …voire même qu’il est encore bien vivant et en capacité de mesurer « la commensurabilité » entre HG et mystique catho.
    (Je prie pour toi, mécréant, … et pour lui)
    Heu,je me demande si ton discours vertical et ton discours horizontal n’ont pas des propriétés de transcontextualisation, qui reposeraient sur des compétences acquises en amont de ton apprentissage maçonnique et te permettent de ce fait l’élaboration d’un champ discursif relativement abstrait. ,( je déconne)
    A+

  • 14
    fluo
    22 juillet 2011 à 20h03 / Répondre
    demain matin il est fort possible que le jour se lève

    Tu veux sans doute parler de l’ascension angulaire de l’astre solaire par rapport au plan de l’écliptique? mdr!!!

    Allez, sur ce, et après ces fraternels et fructueux échanges, je vous souhaite à toutes et à tous un bon week-end.

  • 13
    Kalilooela
    22 juillet 2011 à 19h14 / Répondre

    Parfaitement, d’autant que l’expression écrite ne véhicule qu’une quantité réduite d’informations, c’est pour ça que je multiplie les smileys (nunuches sans doute, mais qui veulent bien dire ce qu’ils veulent dire). Et que je termine la plupart du temps mes interventions par « cordialement », parce qu’en définitive, tout ça n’est pas très grave et que demain matin il est fort possible que le jour se lève 😀

    Amicalement,

    Kalilooela

  • 12
    Flupke
    22 juillet 2011 à 18h31 / Répondre

    évidemment le contact en ch hum permet d’être plus rond dans tout les sens de l’expression qu’en s’exprimant par le truchement des commentaires sur un blog

  • 11
    Kalilooela
    22 juillet 2011 à 17h59 / Répondre

    Bon, j’ai pas tout compris ce tu disais, Flupke, mais considérant que ma (mes) remarques n’étaient pas agressives, je suis bien certain que les tiennes ne le sont pas non plus, d’autant que j’adhère avec plein de choses que tu dis (le fait de se moquer de ses propres travers, le symbole du miroir, tout ça…).
    Si problème il y a dans notre échange, c’est sans doute que je me suis mal exprimé, et certainement que j’ai mal interprété ce que tu écris. Donc aucun problème de mon côté (et du tien non plus je suppose), je prends le tout, je le mets dans ma poche avec mon mouchoir par dessus et je me dis que j’arriverai par la suite à interpréter comme il faut.
    Et tu as raison, les revue spécialisées existent, et heureusement même 🙂

    En attendant, un super bon week end à toi et à tous,

    Cordialement,

    Kali

  • 10
    Flupke
    22 juillet 2011 à 16h53 / Répondre

    à Kalilooela

    1ère remarque
    Les revues spécialisées existent et ne sont pas forcément compréhensibles aux profanes de cette spécialité

    2ème remarque
    La tendance à considérer comme anti-maçon quiconque rit de nous ….. se répand aussi de plus en plus parmi nous.
    Dans cette nouvelle ne fait que décrire des personnages qui existent, mon parrain pour les hauts grades a viré (avec l’âge et l’approche de la faucheuse mystique catho et nous a quitté) ……… et oui c’est plus fréquent qu’on ne le dit !
    Ayant … hélas une ancienneté … non nulle en FM ….. il me semble avoir le droit de me moquer de mes/nos travers ……. je pensais bêtement que le symbole du miroir était connu !
    Une fatwa maçonnique contre les mannes de Maupassant ……..

  • 9
    Kalilooela
    21 juillet 2011 à 22h38 / Répondre

    +1 avec Fluo. Personne ne conteste à l’universitaire le droit de parler dans un langage technique dés lors qu’il s’adresse à ses collègues (voire maîtres). Mais si on diffuse un discours universitaire au bénéfice (entre autres) de « profanes », on essaye, quitte à rallonger son texte, de le rendre un tant soit peu compréhensible.
    Dans le cas présent, j’ai noté et fait noter que c’est le résumé qui est abscons et amphigourique, alors que l’article lui-même, sauf quand c’est réellement indispensable (citation ou démonstrations techniques) reste quand même compréhensible.
    J’ignore si la remarque de Flupke m’est adressée, mais il ne me semble pas faire l’apologie de l’ignorance quand je désire qu’on explique à des non-spécialistes des choses qu’ils sont parfaitement en mesure de comprendre pour peu qu’elles soient expliquées de manière claire.
    Quant aux « je-sais-tout » dont il est question, je leur préfère les « j’aimerais-bien-comprendre », et quand j’ai la chance d’être assis à côté d’un professionnel, au lieu de le tuer de mon mépris, je l’agonise de questions jusqu’à ce que j’ai une certaine compréhension du sujet.
    Pour conclure, je maintiens ce que j’ai dit dans ma première remarque, sauf que je fustige l’auteur du résumé plutôt que l’auteur de l’article, car il me semble que toutes les langues de bois sont faites pour entuber les « profanes ».

    Cordialement

    Kalilooela

    P.S. Je n’ai jamais étudié le texte de Maupassant (j’avoue ne pas être très cultivé), et la remarque de Flupke m’a donné l’occasion de le lire ce soir. Vous aurez remarqué, bien entendu que l’auteur est presqu’aussi bête que son oncle non ?

  • 8
    Flupke
    21 juillet 2011 à 22h07 / Répondre

    à fluo

    oui j’ai fréquenté aussi …. en formation professionnelle « obligatoire » ce type de stage.
    Les alléchants « budgets formation » des diverses entreprises privées ou publiques ont fait surgir du néant, en qq années, de très nombreuses officines de formation sur les thèmes que tu évoques.
    Mais dans ma petite expérience ces « formations » n’ont jamais été demandées ou organisées par des universitaires trop indépendants vis à vis des entreprises mais par des officines dont la qualification des intervenants m’est apparue douteuse ….

  • 7
    fluo
    21 juillet 2011 à 21h18 / Répondre

    Au temps pour moi, je reconnais mes torts, je n’avais pas vu qu’il s’agissait là d’une thèse.
    Donc, Flupke, loin de moi l’idée de contester à qui que ce soit le droit de parler de nous dans son propre langage, mais soit dit en pensant, c’est une expression qui m’a fait bondir, à savoir [i]productions textuelles[/i] qui me faisait furieusement penser aux « production d’écrits » que certains technocrates de l’Education nationale avaient cru bon de substituer à « dissertations »… Que veux-tu, j’ai trop souffert, durant de courtes mais éprouvantes années de chômage, du langage (abs)con(s) des marchands de vent en tout genre, à l’instar de ceux qui prétendaient nous enseigner « l’analyse transactionnelle »….

  • 6
    Flupke
    21 juillet 2011 à 20h34 / Répondre

    1ère remarque
    Dans le cadre universitaire on s’adresse normalement à des spécialistes de telle ou telle technique ayant non pas des jargons mais les langages de leurs techniques …. pas aux autres qui n’ont pas les mêmes langages.
    Je ne vois pas pourquoi il serait interdit de proposer à des étudiants de faire des thèses sur la FM sous l’angle de sa spécialité.
    Avez-vous tenté de lire une thèse de physique sans être physicien ?
    L’ignorance serait une nouvelle valeur maçonnique ?
    Laissons les spécialistes jacter ensemble pendant leurs parcours universitaires.
    2ème remarque
    J’ai remarqué qu’en FM les « je sais tout » sont trop nombreux.
    J’explique
    Certains (es) semblent croire que s’assoir au côté d’un membre de telle ou telle profession ferait du profane en la matière (dans cette profession) un professionnel de ces telle ou telle profession.
    En quelque sorte un médecin deviendrait par la grâce de sa présence en tenue professionnel de tout, plombier par exemple s’il côtoie un plombier et bien sûr les rôles peuvent être inversé.
    Dans cette 2ème remarque je pense à nos pontifiants « oncles Sosthène » en pensant à Maupassant

  • 5
    Kalilooela
    21 juillet 2011 à 15h00 / Répondre

    Tout à fait d’accord avec toi, Jiri. Cependant, à trop employer des mots corporatistes ou pompeux (plus de 5 syllabes, c’est trop pour mon cerveau), l’université a tendance à se détacher de l’universalité.

    Le plus drôle dans l’affaire, c’est que c’est le résumé de l’article qui est imbuvable, alors que l’article lui-même semble assez pertinent et « calme » au niveau de la terminologie – enfin « calme », entendons-nous, c’est pas non plus du Coluche hein.

    Sinon je n’ai aucune antinomie vis-à-vis de cette dame qui a l’air de se cracher dans les mains 🙂

  • 4
    ljcbd
    21 juillet 2011 à 8h01 / Répondre

    il est clair qu’en matière universitaire et de thèse et de publication, plus c’est dit de manière compliquée, plus c’est apprécié par le jury et les confrères !

    Alors la question est : « i[A cette lecture, y aura il un enrichissement collectif de nos processus cognitifs ou ne s’agira-t-il que d’une prise de conscience de nos indicateurs informels d’abstraction » ?

    Bref, nous allons nous sentir bien plus éveillés à la conscience 🙂

  • 3
    Jiri Pragman
    21 juillet 2011 à 7h04 / Répondre

    Il s’agit ici d’un travail universitaire. Par définition, on n’est pas dans le même registre que lors d’interventions en Loge ou dans un blog.

  • 2
    fluo
    21 juillet 2011 à 6h57 / Répondre

    Merci Kalilooela, et pour citer Rivarol :
    Il y a quelque chose de plus haut que l’orgueil, et de plus noble que la vanité, c’est la modestie, et quelque chose de plus rare que la modestie, c’est la simplicité.

  • 1
    Kalilooela
    20 juillet 2011 à 18h59 / Répondre

    Ouais bon, ça veut dire que les maçons manipulent des symboles et qu’avant d’être maçon on était des pas maçons mais qu’on vivait quand même. Heureusement qu’elle est là pour nous le dire 🙂

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous