Dieu, personne ne l’a jamais vu

Publié par Jiri Pragman

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samedi 14 février 2009
  • 12
    JAKIN
    18 février 2009 à 1h39 / Répondre

    La Grande Loge nationale de France n’existe pas. La Grande Loge nationale française, elle, existe bien, et c’est bien d’elle dont il est question. Ce n’est pas qu’un détail…

  • 11
    cp
    17 février 2009 à 20h26 / Répondre

    DIEU s’occupant de l’étre humain post-mortem.Je verrai à ce moment-là.MAIS promis si il y a quelqu’un j’enverrai un signe.

  • 10
    EMEREK
    17 février 2009 à 13h47 / Répondre

    « Bis repetita placent »….. En écho à René….La citation célèbre de Louis Pasteur :

    « Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup de science y ramène. »

  • 9
    Burdeos
    17 février 2009 à 12h34 / Répondre

    Verset 18 : « Personne n’a jamais vu Dieu ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître ».
    C’est plus clair quand on n’est pas vulgaire : le texte original est riche, il nous indique que Dieu ne nous est pas visible directement. Personnellement, je pense que c’est mieux ainsi : le « Fils de Dieu », mi homme-mi divinité, nous informe qu’il peut exister quelque chose qui dépasse notre entendement humain, nous ne sommes pas qualifiés pour cette compréhension directe, nous pouvons juste nous en faire une représentation, une image, que d’aucuns ont nommé Imago Dei. Chacun est libre ensuite de vivre cette représentation, de vivre sa foi ou non.
    La physique quantique a révélé une dualité onde/matière qui a bouleversé certains des scientifiques les plus déterministes et donc les plus matérialistes.
    Je crois en cette expérience immédiate et intuitive de l’image de Dieu : dans la vie de tous les jours, on peut se rendre compte que des évènements se combinent parfois de manière pour le moins troublante. C’est la notion de coïncidence porteuse de sens chère à la psychologie junguienne. Il n’y a pas loin de là à penser que puisse exister un Grand Marionettiste (ou hum… Architecte) qui tient l’Univers au bout de ses fils. Ce qui n’enlève rien à la velléité que peut avoir tout un chacun de construire sa vie en parcourant son chemin, en ayant le sentiment d’être maître de son destin… car pour certains, chacun a un rôle ici-bas.

  • 8
    Flupke
    17 février 2009 à 10h36 / Répondre

    Pour aller dans le sens de René

    Il y a me semble-t-il deux notions différentes :
    1-Ce qui relève de la foi, de la croyance, érigé en dogme par ceux qui croient
    2-Ce qui relève du doute, c’est la science, hypothèse, vérification de l’hypothèse, nouveau questionnement nouvelle vérification, le doute permet aux questionnements de se succéder.
    Il y a conflit lorsque 1 s’impose à 2 et inversement.

    Par contre j’ai tendance à estimer que c’est 1 qui doit s’adapter à 2, c’est ma conception du concept de laïcité.

    C’est ce qui se fait d’ailleurs car les plus « philosophes » des théologiens ont créé le concept de « l’intelligent design» le dessein intelligent, ils ont mis depuis longtemps la Genèse au rayon des contes pour enfants !!!
    Petit commentaire annexe :

    Marcellin Berthelot le chimiste du 19ème siècle pourrait être considéré comme un modèle de scientiste, sauf si on a le courage de parcourir ses études concernant l’alchimie …

  • 7
    Jiri Pragman
    17 février 2009 à 6h44 / Répondre

    @Horus

    Je « confesse » ne plus me souvenir du prologue de l’évangile de Jean mais c’est tout à fait exact. Comme quoi un titre de livre peut paraître « provocateur » si le lecteur n’a pas une culture religieuse (ici chrétienne) suffisante ou « fraîche ».

  • 6
    René
    17 février 2009 à 2h03 / Répondre

    Le scientisme du début du XX siècle est dépassé, le matérialisme aussi est dépassé. Et comme l’a si bien dit Georges Charpak, prix Nobel de pĥysique et chercheur à l’INRS, « ceux qui veulent étudier la théologie, devraient commencer par l’étude sérieuse de la physique quantique…. « . Aujourd’hui il est possible d’avoir la foi, d’être un scientifique et de ne pas passer pour un idiot…. bien au contraire !

  • 5
    Horus
    16 février 2009 à 21h59 / Répondre

    @ Burdeos

    En somme, finalisme et mécanisme …

  • 4
    Burdeos
    16 février 2009 à 11h40 / Répondre

    Pour Platon, le monde des idées existait avant le monde réel. L’idée de la poule précédait bien celle de la poule réelle ou même de l’oeuf, la notion ‘moderne’ de causalité n’existant pas alors. Pour son disciple Aristote… c’est le contraire : c’est parce qu’ils ont observé le réel que les hommes ont conceptualisé et imaginé une forme de causalité pré-scientifique : s’il pleut, c’est pour que les animaux, les plantes et les hommes puissent s’abreuver. Il y avait donc selon Aristote un dessein, vraisemblablement porté par un être suprême : l’idée de Dieu émergeait. Vint, bien plus tard, la science et une causalité ‘non-intentionnelle’ : il pleut parce que les gouttes d’eau condensent. Le débat sur l’existence de Dieu ne parait pas près d’être tranché…

  • 3
    yvca
    16 février 2009 à 0h36 / Répondre

    C’est l’éternelle question ; qui de l’oeuf ou de la poule a ,crée l’autre ? ? ?

  • 2
    Horus
    15 février 2009 à 14h32 / Répondre

    En fait, ce n’est pas un titre provocateur, mais l’expression « exacte » que des scripteurs ont mise dans la bouche de Jean (Prologue, verset 18).

  • 1
    René
    14 février 2009 à 19h00 / Répondre

    Extrêmement rafraichissant que de lire ceci « Si Dieu est, il est en l’homme ce point de lumière qui précède toute raison et toute folie et que rien n’a puissance de détruire. Peut être qu’alors croire en Dieu consiste en ceci : croire qu’en tout être humain existe ce point de lumière. » Maurice Bellet

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