Vénérable Maître et chapeau texan

Publié par Jiri Pragman

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mardi 26 mai 2009
  • 9
    EMEREK
    30 mai 2009 à 10h52 / Répondre

    @Lihin ,
    Merci pour cette référence

  • 8
    lihin
    30 mai 2009 à 8h08 / Répondre

    À EMEREK,

    Étaler tout cela ici irait trop loin. Je vous conseille donc la lecture du « Guide pratique de la Franc-maçonnerie – Rites, systèmes, organisations » de Jean Solis.

  • 7
    EMEREK
    28 mai 2009 à 14h50 / Répondre

    @Flupke

    Pour moi la forme du couvre-chef est égale .
    L’essentiel est d’être « couvert »….. 😉
    L’importance du chapeau est ,je suis d’accord ,fondamentale.
    Dans ma Loge ,avant qu’il ne devienne trop usé,les vénérables successifs portaient un chapeau melon(le même de génération en génération)…..Aujourd’hui on a adopté la coiffure standardisée bien connue…
    J’ai un faible pour le tricorne -très signifiant-(mais plutôt RER),et je ne suis pas sûr du succés de cet accessoire dans ma loge…

    Voir ici le chapeau Melon ,les Gibis(GB)…très symbolique tout ça…

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Shadoks

    ……….On est pas mal ici à Memphis (Tennessee)…maçonnerie blues…!!!

  • 6
    EMEREK
    28 mai 2009 à 14h30 / Répondre

    Je ne savais pas qu’il y avait une interdiction possible » profane » en cas de grades au delà du 3 éme degré.

    J’avais la notion ,au contraire, d’une volonté maçonnique de rester dans le cadre rituel des 3 degrés et pas plus (dès le XVIII éme ,avant Emulation)
    Pour conserver « la racine,le coeur et la moelle de la FM »(Dermott) il était institué « l’Arc Royal » aboutissement dans ce troisième degré des Ancients.
    Pouvez vous m’en dire plus?

  • 5
    lihin
    28 mai 2009 à 13h27 / Répondre

    À EMEREK,

    Les différences entre les rites Émulation et Standard d’Écosse ne sont pas grandes. Tous les deux connaissent par exemple un grade de Maître.
    Ceci étant, Robert Ambelain, dont en parle souvent aux rites égyptiens, en son ouvrage « La Franc-Maçonnerie Oubliée » conteste formellement la régularité de la Grande Loge de Londres de 1717. Il approuve par contre la notion et la validité de la régularité franc-maçonnique en tant que telle. Tout un chapitre du même livre est voué aux « 7 B » de disqualification d’un candidat à la réception.

    Pour « sauver » le degré d’Arche Royale devant la menace d’interdiction politique profane, la GLUdA devait l’attacher directement à la Maîtrise. Par conséquent, la séquence des degrés auxiliaires et leurs gestions administratives sont différentes en Écosse et, à mon humble avis, plus cohérentes.

  • 4
    EMEREK
    27 mai 2009 à 23h39 / Répondre

    @Lihin

    Cette notion de « par-coeur « dans le rite Emulation et de « lecture » dans le REAA sont des notions que j’ai entendue (surement pour la première)et lue quelque part(probablement) pour la seconde…mais il faut que je cherche……

    Quant au « Standard d’Ecosse » ,dont vous me signalez la provenance compagnonique directe:quels sont ses rapports avec le rite Andersonien(moderne ou français)

  • 3
    jyBed:.
    26 mai 2009 à 21h54 / Répondre

    j’ai dejà vu dans une loge au 3ème D° les M:. se couvrir le couvre chef d’un feutre noir
    Frat:.

  • 2
    Myosotis
    26 mai 2009 à 11h19 / Répondre

    Et un revolver en guise de maillet ! HIHA !

  • 1
    Flupke
    26 mai 2009 à 9h38 / Répondre

    Y a-t-il, dans nos associations, pour les rites qui le prévoie, une forme de « couvre-chef » obligatoire ?

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