Franc Maçonnerie Magazine

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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dimanche 18 octobre 2009
  • 31
    minzier
    3 mars 2010 à 18h41 / Répondre

    je n’ai pas encore lu le N)  » mais le sujet « franc macons et vichy »merite qu’on sy arréte car sur les 53O élus « sollicités »pour voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétail,il y avait 😯 francs maçons et sur les 8I qui votérent contre il y avait 2I franc maçons…Tous de gauche à une époque ou le PCF était interdit pour sa coopération avec le troisieme reich..ce qui valu au député communiste de Paris prosper Moquet(pére de guy)d’être incarcéré en Algérie…
    Donc sur le plan « légaliste » Pétain avait les parlementaires-dont des francs maçons- avec lui,à l’époque le PCF militait pour un raprochement avec l’occupant,avant de virer à 9O° aprés l’invasion de l’urss..la pologne faisant les frais des accords germano soviétiques avant et aprés…des témoignages de témoins de l’époque serait certainement utile ainsi qu’une vision « mondiale » de la situation,d’autant que Churchill était un haut dignitaire de la franc maçonnerie anglaise tandis que De gaulle était condamné à mort et déchu de sa nationalité par Vichy.le general De gaulle s’est montré plus conscient de se légitimité en communat en détention à vie la peine de mort du maréchal Petain…reste que la chronologie des faits à son importance et que pensant avoir « la plus forte armée du monde »,et avoir accepté la trahison de munich(contre les allies tchecoslovaques et les autrichiens démocrates)les francais ont été « sidérés ».;la encore des témoignages serait utiles;
    cordialement

  • 30
    CHE
    8 décembre 2009 à 12h10 / Répondre

    D’accord avec HENRI T; La FM ça se vit ça ne se raconte pas.

    J’étais abonnée à Initiations depui le n°18, j’ai reçu aussi sous emballage transparent FMM et les excuses….la qualité des articles ne m’a jamais convaincue et n’a guère évolué, le ton de la rubrique Tradition se veut didactique mais je doute qu’il atteigne son but ; je ne pense pas renouveler mon abonnement.
    Au fait, dans la photo de l’intérieur du temple p.40, il y a une erreur, cherchez….

  • 29
    HENRI T
    14 novembre 2009 à 19h16 / Répondre

    Bonsoir,Voici le commentaire d’un de mes Frères qui a trouvé le magazine sur ParisBonjour à tous,J’ai lu FM-MAG, et je suis rassuré, car les amateurs de sensationnel en auront pour leur argent! C’est à dire rien de plus que les inévitables articles récurrents sur les FM et le pouvoir, les éternelles fraternelles ,c’est a dire tout le BLA-BLA que l’on retrouve régulierement, dans l’Expresss, Nouvel Obs et consorts histoire de remonter les ventes car une chose est sure la FM çà fait vendre!!Ce que je trouve dommage, par contre est de dévoiler des photos de loge, quel interet pour le profane?.Le vrai secret, nous le portons en nousil n’est pas transmissible par photos,il est vrai aussi que grace ou à causedu Net, beaucoup de sites révelent une partie de nos »secrets », mais je reste persuadé que la FM se vit en soi et ne peut rester accessible qu’à celui qui en fait une démarche personnelle.

  • 28
    athanase
    14 novembre 2009 à 14h07 / Répondre

    Normalement tu n’as pas besoin de venir en France pour le trouver. il est distribué aussi en Belgique et même dans le monde entier!… puisqu’on retrouve sa pub sur des sites africains!
    mais c’est vrai, il semble qu’il ne soit distribué que dans les grands centres, les grandes maisons de la presse. etc, etc,etc

    je constate que tu as fait trois points …presse…
    tu les as fait en triangle?… je plaisante bien sûr!
    Frat

  • 27
    Fluo
    14 novembre 2009 à 13h50 / Répondre

    Je ne l’ai pas non plus trouvé, même mon libraire qui pourtant a un bon rayon d’ouvrages sur la Franc Maçonnerie, n’a pas entendu parler du magazine. Bizarre…

  • 26
    Jiri Pragman
    14 novembre 2009 à 13h45 / Répondre

    Suis allé en France. J’ai fait 3 points presse. Rien vu.

  • 25
    HENRI T
    14 novembre 2009 à 11h29 / Répondre

    Bonjour,

    Franc-Maçon magazine N°1 Est sorti en kiosque et ne semble pas faire l’unanimité parmi les Maçons qui trouvent étrange ce déballage au yeux du profane !! ??
    Bonne journée

  • 24
    Philippe
    12 novembre 2009 à 15h03 / Répondre

    Pour ma part, ils m’ont carrément envoyé le magazine sous emballage transparent !!!
    Une erreur grave je trouve.
    Voici une copie du courrier que nous avons échangé ensuite :

    « Chers Rédacteurs,

    je tenais, par ce message, à vous exprimer mon grand mécontentement suite à l’erreur faites par votre routeur, erreur qui a eu comme conséquence la réception du magazine sous film transparent.

    Mon épouse étant … et donc « en commerce », la suspicion d’une appartenance à l’ordre pourrait choquer certains clients (profanes évidemment) qui ne connaissent pas nos « intentions profondes ».

    Nous, ici en Belgique, sommes encore très méfiants quant à l’extériorisation et au dévoilement de notre appartenance, alors qu’en France, je crois observer que vous êtes beaucoup plus audacieux.

    Je comprends parfaitement que cette erreur est indépendante de votre volonté, mais je ne pouvais la laisser se produire sans vous en exprimer ma déception.

    En toute amitié fraternelle,
    P.S. »

    Leur réponse :
    « Cher monsieur,
    Nous ne pouvons que réitérer nos excuses pour cette erreur. Nous sommes bien conscients de la gêne occasionnée et nous portons garants que les prochains envois se feront bien sous film opaque et non plus transparents.
    Restant à votre disposition,
    Bien cordialement »

  • 23
    Lumiere Ottomane
    29 octobre 2009 à 22h59 / Répondre

    J’ai toujours des réserves concernant la nouvelle formule. La première c’est que pour les abonnés, la formule n’est pas des plus discrète. J’ai reçu le magazine et j’en remercie. Toutefois avec un titre énorme Franc MAçonnerie magazine, mon nom et mon adresse incrit de manière bien visible. L’ancienne formule etait quand même des plus discrete. Concernant le contenu, il est vrai que l’ancienne formule était intellectuellement un peu élitiste. Cette fornule parait être un peu plus axé sur un lecteur grand public. LEs deux formules se valent. Mais plus de discrétion dans l’envoie du magazine s’il vous plait.

  • 22
    athanase
    28 octobre 2009 à 20h27 / Répondre

    Sur mon propre blog ou avec des commentaires sur d’autres blogs j’ai exprimé des réserves sur cette nouvelle formule notamment parce que je suis un abonné de l’ancien magazine, qu’il me plait tel quel et je ne voyais pas l’utilité d’une nouvelle formule.
    Je m’inquiétais aussi pour les abonnés mais depuis j’ai de nouvelles informations. je suis rassuré, rien ne change !
    Finalement d’après ces nouvelles informations dont je dispose, cette nouvelle formule devrait être encore plus attrayante que l’ancienne.
    C’est toujours la même équipe qui travaille sur ce mag mais avec le renfort de nouvelles plumes venants du monde de la FM.
    Alors comme on dit en Bretagne… « Bon Vent! » à ce nouveau magazine

  • 21
    athanase
    22 octobre 2009 à 18h51 / Répondre

    Curieux…. ?????
    depuis aujourd’hui le site FM magazine demande un mot de passe pour se connecter…
    http://www.fm-mag.fr/
    Mais qui peut bien se connecter avec un mot de passe sur un site qui vient à peine de démarrer?
    Où trouve-t-on ce fameux mot de passe?
    Décidément ils se moquent de nous. ils n’ont pas apprécier nos commentaires sur l’article à la une ….
    Décidément, il faut aborder ce magazine avec beaucoup de recul !!!!

  • 20
    Pilou
    20 octobre 2009 à 15h47 / Répondre

    Laissons de côté la presse quotidienne pour laquelle ce n’est guère possible mais:

    1. un bon à tirer (signé par l’auteur du texte) est la pratique habituelle pour toute publication

    2. le respect des sources est un principe fondamental. Il suffisait de demander son accord à Jiri et de publier l’article en y apposant sa signature.

    Il n’est pas besoin de grands discours.

  • 19
    athanase
    20 octobre 2009 à 11h42 / Répondre

    Je reviens sur le post de Lumière Ottomane.
    Je suis moi aussi un abonné d’initiations magazine et depuis le numéro 28 (Juin-Juillet) plus rien, aucun envoi, pas de courrier… le vide, le site semble figé, plus rien ne bouge.
    Il est légitime de s’interroger sur la fiabilité et sur le sérieux de ce magazine. Aujourd’hui on apprend (par le net) que le magazine va renaitre sous un autre nom. Pour ma part je ne savais pas qu’il était mort !
    Maintenant les questions et les bagarres des journalistes, cela ne regarde en rien le lecteur mais il faut reconnaitre que si le N° 1 de Franc-Maçonnerie Magazine est un remake du N° de juin d’initiations Magazine alors là vraiment, il y a un problème !
    Autre question : si le nouveau mag n’est que la suite ou la continuité du premier, j’espère qu’il va reprendre à son compte les abonnés ! ce serait logique !
    Restons vigilants et que notre expérience serve à d’autres. Ne vous abonnez pas trop vite à ce nouveau magazine !

  • 18
    Stéphane DC
    19 octobre 2009 à 14h45 / Répondre

    « Lancée [sic] en octobre 2009, Franc Maçonnerie Magazine est un magazine d’information internationale. Sa mission est de couvrir l’actualité des francs-maçons avec un regard français fait de diversité des opinions, de débats contradictoires et de confrontation des points de vue ». Un « regard français ». Tout est dit : la maçonnerie francophone passe à la trappe, reste le « débat » franchouillard-franco-français. Du grand n’importe quoi sans intérêt donc. En ce, Franc-Maçonnerie Magazine s’inscrit bien dans la continuité d’Initiations Magazine, où un article « de fonds » faisait quatre pages maximum avec de grandes plages d’illustrations.

  • 17
    fluo
    19 octobre 2009 à 9h20 / Répondre

    Je vais jouer les candides (que Maître Pangloss me pardonne), mais je pensais que les journaux dits «sérieux», ou se prétendant comme tels, soumettaient la copie à l’interviewé pour avis, du moins sur la forme.
    J’ai un jour interviewé une scientifique du Muséum National d’Histoire Naturelle, sur un domaine qui me passionne en tant qu’amateur. Avant la diffusion sur un forum, j’ai soumis le texte mis en forme à l’intéressée, qui me l’a retourné avec un grand nombre de corrections, ce qui prouve qu’on interprète forcément de manière différente, même sur un sujet «carré».
    Soit dit en passant, j’apprécie la sortie de ce magazine, que j’attends impatiemment.

  • 16
    Lumière Ottomane
    19 octobre 2009 à 1h13 / Répondre

    Nos Collègues Allemands de la presse écrite se doivent de renvoyer la maquette de l’interview a la personne qui a été interviewé.
    L’interview se fait toujours avec un enregistreur et l’intéresser peut modifier la forme, demander que l’interview ne soit pas du tout publier mais il doit dire pourquoi, mais il ne peut pas changer le fond de l’interview c’est à dire les mots qu’il a dit. Et en général pour que ce soit plus compréhensible, un peu comme en France, on écrit toujours a coté : NDLR: Note de la Rédaction

  • 15
    Etarcos
    19 octobre 2009 à 1h11 / Répondre

    @Lumière Ottomane
    « Et en plus c’est le vol pure et simple d’un travail journalistique d’une part, et d’un droit d’auteur d’autre part. C’est la même chose que voler une pomme sur un étalage, ou un livre dans une librairie, et en plus, il y a usurpation d’identité. »

    Non, ce n’est pas un vol, c’est de la contrefaçon. Je ne cautionne pas, mais soyons précis ! Ce sophisme (Argumentum ad odium) a déjà été utilisé lors des discussions sur la loi Hadopi…

  • 14
    Jiri Pragman
    18 octobre 2009 à 21h19 / Répondre

    A mon sens, la possibilité de relecture peut être demandée (généralement, c’est préalable à l’entretien) afin de s’assurer de la retranscription de ses propos; il ne s’agit donc pas d’un droit de supervision sur l’ensemble d’un article (ou sur sa mise en page).

    Il m’est aussi arrivé de faire relire un article parce qu’il portait sur une question « touffue » (économique ou juridique) et que je voulais vérifier qu’il n’y avait pas d’erreur factuelle.

    Il m’est arrivé d’être interviewé à mon tour et l’interview (radio) a été diffusée dans le cadre d’un billet particulier. Mais je n’avais qu’à mieux m’informer au départ sur le contexte de la diffusion de l’extrait d’interview.

  • 13
    EMEREK
    18 octobre 2009 à 21h10 / Répondre

    @Cowan hapax

    Je rebondis sur :
    « la seule manière de travailler « sérieusement », pour des entretiens papier, c’est de faire valider la maquette finale de l’entretien par le principal intéressé lui-même, et de prendre en compte ses remarques et corrections. « 

    Cette façon de travailler aurait pu éviter que des journalistes, mal intentionnés ,se servent de la parole de l’un ou l’autre maçon pour illustrer des torchons(Express) dont le seul but est de vendre en déballant ,sans vergogne ,le nom du boucher,de l’instituteur et du médecin du coin…comme je l’ai déjà dit….

    A l’avenir que les journalistes s’engagent par écrit à cette procédure avant de pouvoir interviewer …….cela me semblerait le minimum dans la déontologie…!!!!

  • 12
    Lumière Ottomane
    18 octobre 2009 à 20h48 / Répondre

    Initiation magazine m’avait convaincu d’être une revue assez sérieuse. A ce titre je me suis abonné au en mars dernier. J’ai payais la somme annuel. J’ai reçu deux numéro et ensuite plus rien. Ni même un petit courrier me disant que la revue n’allait plus paraitre, ni un courrier s’excusant d’avoir encaissé un abonnement annuel pour seulement deux numéros. Et encore moins quelques ancien numéro afin de compenser un petit peu tout les numéro auquel ju’aurais eu droit si la revue continuait d’être éditer.
    Par conséquent, je doute dès à présent de la bonne foi de l’équipe qui édite à nouveau la revue sous un nom en effet beaucoup plus commerciale pour ne pas dire accrocheur. Il aurait pu trouver un nom un peu plus subtile.
    Et je suis entièrement d’accord avec mon collègue journaliste Jiri pour une question d’éthique, de professionnalisme etc:
    Est-ce-que le GM du GoB Bertrand Fondu aurait accordé une interview à Hélène Cuny? Si oui, aurait-elle posé les même questions? Et aurait-il répondu aux même questions sachant que ce n’est pas le même interlocuteur etc?
    Et en plus c’est le vol pure et simple d’un travail journalistique d’une part, et d’un droit d’auteur d’autre part. C’est la même chose que voler une pomme sur un étalage, ou un livre dans une librairie, et en plus, il y a usurpation d’identité.
    Bref en un mot comme en cent, la nouvelle revue est a boycoter sauf si l’équipe s’explique un peu sur tous ces problèmes.
    J’ai dit.
    N.B: Parler de soit a la troisieme personne n’est pas un défaut. C’est le Blogueur Jiri qui parle de Jiri le journaliste. Alors soit, ca fait un peu Alain Delon, mais ce n’est pas shizo du tout. C’est pour montrer la différence plutot que faire le mélange des genres.

  • 11
    Cowan Hapax
    18 octobre 2009 à 18h26 / Répondre

    J’ajoute qu’à mon avis la seule manière de travailler « sérieusement », pour des entretiens papier, c’est de faire valider la maquette finale de l’entretien par le principal intéressé lui-même, et de prendre en compte ses remarques et corrections. Mais c’est une pratique plutôt rare dans le monde de la presse écrite, ne serait-ce que parce qu’elle exige un certain temps alors qu’en général, « en période de bouclage », le temps manque énormément.

  • 10
    niaclabut
    18 octobre 2009 à 18h07 / Répondre

    C’est encore pis à la télévision que dans les journaux. Je connais pas mal de personnes (parmi eux, certains Frères) qui refusent de répondre aux interviews (d’ordre profane le plus souvent) parce que, d’une intervention de quelques minutes, on ne passe qu’une ou deux phrases trahissant complètement l’opinion de l’interviewé, parvenant à lui faire dire ce que souhaite entendre l’intervieweur mais tout à fait opposé à ce que pense l’interviewé.

  • 9
    Cowan Hapax
    18 octobre 2009 à 18h04 / Répondre

    @ Louis

    « Dans la mesure où l’équipe du journal est sérieuse »

    Bah justement, c’est ça le problème : quand on lit un entretien dans un magazine, quel qu’il soit, on PRESUPPOSE que le travail de mise en page et de « lissage éditorial » a été fait sérieusement. Sauf qu’il y a mille et une manières de faire « dévier » le contenu d’un entretien, pour faire dire à la personne interrogée des choses qu’elle ne disait pas au départ. Et comment savoir si les personnes qui ont réalisé la mise en page et celles qui ont « lissé » le texte étaient sérieuses ou pas ? On ne le sait pas, on sait juste que « je lis tel entretien dans le Monde, comme c’est un journal de référence, je fais donc confiance a priori à l’équipe qui m’a préparé tout ça. » (Le Monde, Le Figaro, Libé, le Nouvel Obs, tout ce que vous voulez quoi.)

    On accorde un crédit à ces articles et entretiens à cause de leur contenant, qu’on pré-juge sérieux. Pourtant de tels exercices de style ont leur limite : en mettant en exergue un minuscule passage d’une longue phrase par exemple, en gras et en taille énorme au milieu de la page, pour « aérer », on peut facilement trahir la pensée de la personne interrogée.

    Enfin bref, je dis juste que pour ma part, quand un sujet m’intéresse vraiment, je ne me contente jamais d’un entretien lu dans la presse, pour me faire mon avis je cherche des vidéos de la personne interrogée sur Youtube, ou je commande son livre, etc.

  • 8
    Louis
    18 octobre 2009 à 17h20 / Répondre

    @ cowan hapax :c’est un faux probleme, cette idee d’articles taillés à la hache. Neuf fois sur dix, la taille d’article commandee est respectée a la mise en page. Dans la mesure où l’équipe du journal est sérieuse. Sinon, ça signifie qu’on a affaire à des rigolos incapables de faire une maquette prévisionnelle. Les corrections modifiant plus de 10% du texte sont l’exception, pas la norme. Mais je suis d’accord, le web sera toujours plus performant en place possible.

  • 7
    Louis
    18 octobre 2009 à 17h19 / Répondre

    @ cowan hapax :
    c’est un faux probleme, cette idee d’articles taillés à la hache. Neuf fois sur dix, la taille d’article commandee est respectée a la mise en page. Dans la mesure où l’équipe du journal est sérieuse. Sinon, ça signifie qu’on a affaire à des rigolos incapables de faire une maquette prévisionnelle. Les corrections modifiant plus de 10% du texte sont l’exception, pas la norme.
    Mais je suis d’accord, le web sera toujours plus performant en place possible.

  • 6
    Cowan Hapax
    18 octobre 2009 à 16h19 / Répondre

    Ah bah voilà, c’est plus clair comme ça, et tout à fait compréhensible 🙂

    Pour ce qui est de la mise en ligne trop précipitée, je sais d’expérience que la plupart des initiateurs de sites internet ne se doutent pas de la rapidité et de la puissance de Google (notamment avec ses Alertes par mot-clé) quand ils ouvrent un nouveau site et qu’ils commencent à le remplir, en se disant « tant qu’on n’en parle pas, personne saura qu’il est en ligne ! ».

    Le problème de l’amputation d’un entretien pour le faire tenir dans le cadre de la maquette d’un magazine papier est l’une des plaies de la presse « classique », puisqu’elle revient à abîmer, caricaturer, simplifier, trahir même, le discours de la personne interviewée. Et c’est hélas à partir de ces interviews tronquées qu’on se fait généralement une opinion sur un auteur !

    Heureusement le web est là, qui permet de publier des textes dans leur intégralité, sans se prendre la tête sur des questions formelles.

  • 5
    Jiri Pragman
    18 octobre 2009 à 16h05 / Répondre

    Il existe des possibilités pour un éditeur de site web de tester un site web sans qu’il soit en ligne ou visible. A partir du moment où on le rend visible, il faut s’attendre à ce qu’il soit visité. Il existait suffisamment d’articles pour ne pas mettre en ligne sous un autre nom celui d’un journaliste qui avait quitté – jusque là quasiment en silence (mais il ne faut pas l’énerver) – le magazine.I

    l y a vraiment un problème lorsqu’un journaliste (moi en l’occurence) a convenu avec un interviewé qu’il pourra relire l’entretien (uniquement la transcription de ses propos et non les commenaires) qui risque d’êtrre coupé -pour des questions de mise en page. Lorsqu’il n’y est pas donné suite malgré plusieurs demandes, il est logique de mettre de la distance, oserais-je dire de ne plus accréditer ce magazine. Ajoutons à cela la conception parfois éminemment franco-française du monde et de la Franc-Maçonnerie pour une revue qui se dit « francophone ». A mon sens, il ne suffit pas de s’entretenir avec des Grands Maîtres hors France pour développer une approche « francophone ».

    Enfin, ce qui aurait été « maçonnique », cela aurait été de respecter les journalistes et chroniqueurs qui ont « fait » – à tittre gratuit – ce magazine.

  • 4
    Cowan Hapax
    18 octobre 2009 à 15h38 / Répondre

    Hello

    effectivement s’ils reprennent un entretien réalisé par vous mais sous un autre nom, ça commence mal pour eux niveau crédibilité et rigueur… En revanche, il faut noter, comme vous le faites, que le site en question est à peine en train de se fabriquer. Donc il est loin d’être encore « officiellement ouvert », comme on dit, et on peut aussi penser que les « petites mains » derrière le site ont simplement copié/collé des archives du magazine sans faire très attention aux noms des journalistes. Ne vaudrait-il pas mieux juger de l’initiative quand le site sera vraiment ouvert et bien « fini » ?

    Quant à la phrase « Lequel a cessé toute collaboration avec ce magazine (il n’est pas le seul). « , je trouve qu’elle en dit trop, ou pas assez ! C’est une manière assez insidieuse de sous-entendre que l’équipe qui dirige ce magazine traite mal ses collaborateurs, ou qu’il y a « anguille sous roche », bref un problème quelconque (de quel ordre ? éthique ? financier ? relationnel ?), non public, qui ferait de ces gens des méchants dont il vaut mieux se méfier. Tout ça sans l’écrire noir sur blanc (mais tout le monde aura compris).

    Il aurait peut-être été plus judicieux (plus maçonnique ?) d’exprimer clairement une critique concrète, ou bien de ne rien dire du tout. Je précise que je ne connais pas du tout l’équipe d’Initiations Magazine et que je ne pense même pas avoir un numéro de leur revue chez moi. Je ne suis en aucune manière lié à cette revue.

    En tout cas, un « Franc-Maçonnerie magazine » en kiosque, après cette insistance médiatique de ces derniers mois sur la FM et l’État, ça fait quand même pas mal opération marketing…

  • 3
    odyseus76
    18 octobre 2009 à 14h14 / Répondre

    Tout à fait d’accord avec Jiri sur l’utilisation du « nous  » rien de choquant .

    Par contre je suis surpris de la remarque sur le fait que de nombreux collaborateurs aient quitté la rédaction de initiation magazine. Que s’est ‘il passé au sein de la rédaction pour de tels changements ?

    L’ancienne formule de initiation magazine me plaisait beaucoup personnellement: Quels sont les changements envisagées ? des info ?

  • 2
    Jiri Pragman
    18 octobre 2009 à 13h39 / Répondre

    Je ne comprends pas qu’on se pose la question. Les auteurs peuvent utiliser le « je » ou même le « nous » comme dans certains livres ou recourir à la 3e personne.

  • 1
    Stéphane
    18 octobre 2009 à 13h29 / Répondre

    Je ne comprends pas cette manie à parler de soi à la 3° personne ….

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