« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
Je suis tres intéressé par tout ce qui touche à la démarche de Pierre BOISSON dont je connais le tombeau au-dessus de YENNE (73), sur la commune de NATTAGES (01). Si quelqu’un détient des renseignements à ce sujet, je serais très heureux d’en avoir connaissance.
En revanche, j’ignorais le cas de ce frère de ROMORANTIN.
Pierre Boisson Savoyard de Loisieu est enterré dans une falaise ou il creusa son tombeau vers 1880. Ce tombeau est sur la commune de Natage dans l’Ain en face de la commune Savoyarde de Yenne.
S’il creusa son tombeau à cet endroit en face de la Vierge de la montagne c’est que le curé de Yenne lui avait interdit une cepulture sur sa terre savoyarde.
Pour répondre à Yca, à titre tout à fait personnel j’ai songé un jour que mon dernier pied de nez pourrait-être d’avoir dans mon testament une disposition obligeant tout héritier éventuel à déjeuner et dîner en présence d’un urne contenant des cendres. Les miennes ou d’autres car il me semble difficile d’être certains que ce soient bien les nôtres qui seraient soit dispersées soit misent en urne.
Cependant, en llisant cette nouvelle ce matin, je me suis dit qu’elles pouvaient aussi répandues en un lieu dont seul le vent aurait souvenir.
je ne sais pas si ca peut répondre à l’interrogation d’yvca, mais il me semble que les dispositions post-mortem prisent de son vivant, sont plus faites pour les survivants. Cela est important dans le processus de deuil.
Les rituels ont un sens mais ce n’est pas ici que je vais avoir à développer l’idée. La mort quoique banal est l’événement le plus important de la vie.
Après la naissance peut être 😉
Vouloir que ses cendres soient dispersées en un endroit précis, fut-il symbolique, je respecte cela, mais je me demande pourquoi cette démarche ??? Les cendres auraint-elles une Ame? Une mémoire, ou
quelques autres problèmes métaphysiques ??? Je ne juge pas , mais cela me pose question.
@ Jean Labrique
Bonsoir,
Je pense que vous devez prendre dès maintenant toutes les dispositions pour que les cendres soient répandues à tel ou tel endroit. Ces dispositions doivent être prises auprès de votre administration communale, municipale (je ne sais si vous êtes Belges ou Français) ou devant notaire.
Je peux vous aider dans votre recherche si vous le souhaitez et pour autant que vous soyez Belges car les lois …
Je vous donne un exemple: je viens de perdre une tante. Ses enfants découvrent un document olographe non enregistré par lequel elle souhaitait que ses cendres soient dispersées dans la mer.
Légalement, mes cousins ne peuvent (l’incinération a lieu mercredi) répondre à son souhait car elle ne l’a pas manifesté elle-même et fait enregistrer avant son décès.
Vous me permettrez une comparaison: pour l’euthanasie, les « formulaires » légaux existent mais ils doivent être rédigés et renouvelés tous les cinq ans (si je me souviens bien) avec deux témoins voire en plus deux personnes de confiance qui conservent chacun un exemplaire de la volonté de la personne qui souhaite que soit pratiquée cette intervention médicale.
Et si Jiri le permet, j’ajouterai à son commentaire, que même jusqu’il y a ???, les personnes qui s’étaient suicidées, et même très bon catholiques, n’avaient pas droit à un service (quelle expression !) religieux.
TTF
Oups !
Dans ma lecture j’ai confondu (allez savoir pourquoi), 1738, date de la première condamnation de la FM et 1877, fin de l’obligation d’évoquer le Gadl’u au GODF.
D’ou ma reflexion, pourquoi ne serait-il pas en terre chrétienne si, à cette époque, les maçons ne sont pas – encore – condamnés.
Pour autant, il existe nombre de tombes maçonniques dans des cimetierres classiques à la même époque ce qui me fait penser que son isolement n’est pas forcement lié à son appartenance. Peut-être avait-il d’autres démélés avec l’Eglise.
De plus, la maçonnerie de l’Empire est tout ce qu’il y a d’officiel et absolument pas anti-cléricale (elle le devient au cours du XIXe, surtout sous le IInd Empire). Dans ce cas, l’argument semble faible.
Comme l’indique Jiri, nous sommes peut-être face à une mesure individuelle mais alors pour quelle raison ? Peut-être un particularisme local.
T A F
Fox
Question: Peut-on demander d’y avoir ses cendres répandues? et à qui faut-il s’adresser pour ce faire? Ma femme et moi serions intéressés par cet endroit de la belle France.
Je suis d’accord avec Jiri. Les autorités religieuses refusaient l’enterrement en terre « consacrée » pour les excommuniés qu’étaient les maçons déclaré et reconnus.
Parce qu’il est arrivé en France comme en Belgique que es autorités religieuses locales interdisent l’entrée du cimetière à des défunts pour qui des funérailles religieuses n’avaient pas été ordonnées.
Bonjour
L’article faire un lien implicite entre le fait qu’il soit FM et le fait qu’il ne soit pas dans un cimetierre « chréiten ». Je vois mal pourquoi, a cette date là, un FM n’aurait pas pu être enterré « comme les autres ». Voir le nombre de tombes maçonniques de la même époque dans les cimetières parisiens.