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Création d’une nouvelle loge au Rite Standard d’Ecosse à la GLIF

Publié par Géplu
Dans Divers

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vendredi 13 septembre 2024
  • 16
    Stirling
    19 septembre 2024 à 17h58 / Répondre

    @ PIERRE NOËL,
    Foutaise ? Possible! mais insuffisant, une explication, une information serait bien venue.
    On peut lire tout et son contraire sur la Maçonnerie en Ecosse et sur la pratique, en France, d’un rite qui semble sujet à controverse.

    • 18
      Pierre Noël
      20 septembre 2024 à 10h22 / Répondre

      Suffit de lire !
      Le site Kilwinning lodge sur wikipéria écrit :
      « Mother Kilwinning No.0
      The Mother Lodge of Scotland is situated in the Ayrshire town of Kilwinning.
      This old and ancient Lodge of Freemasons dates back to the building of Kilwinning Abbey around 1140 and has a unique history second to none in the Masonic world.
      Before the forming of Grand Lodge in 1736 Mother Kilwinning was a Grand Lodge in her own right issuing charters and warrants to Lodges wishing to enjoy the privileges of Freemasonry.  »
      Vous lisez cette sottise et vous la comparez à ce que rapportrnt les auteurs sérieux (Gould, Carr, Stevenson, Cooper, Begemann, Kahler, Knoop, Jones, Berman, Mollier…) (vous oubliez les imaginatifs, comme Ambelain, Négrier et al)
      Vous n’oubliez pas que les « loges », au sens actuel apparaissent au XVII° siècle et le 3° degré en Angleterre au XVIII°, plus tôt qu’en Ecosse.

    • 20
      Anubis Rê
      20 septembre 2024 à 15h23 / Répondre

      Les travaux menés par la RL suisse Fidélité et Prudence sur l’Histoire de la Maçonnerie en général et les Statuts Shaw en particulier me semblent bien éclairer ce qu’il s’est passé en Écosse.
      En gros, au XVIe siècle le Métier est contrôlé par les Guildes qui pratiquent des prix et conditions de plus en plus exorbitants.
      Sur demande du Roi Jacques VI, Shaw établit des Statuts autour desquels se créent ou s’affilient des loges de manière à concurrencer les Guildes.
      C’est un échec, les loges Shaw ne seront jamais, ni rentables, ni même à l’équilibre.
      Pour ne pas disparaître, elles inventent l’acceptation.
      En somme, si l’on s’extrait du sensationnel et du « secret maçonnique » inexistant sous quelque forme que ce soit (considérant que liberté et objectivité ne recouvrent pas un secret mais une discipline intellectuelle dont les religions sont l’antithèse), il me semble que rien n’est vraiment compliqué dans cette Histoire de la naissance de la FM spéculative.
      En revanche, ceci n’explique en rien le projet de Désaguliers en 1717/21 qui, me semble-t-il, dans l’esprit est un emprunt sur la forme de manière à écarter les inaptes et une continuité des principes des bâtisseurs de cathédrales (probité, objectivité et vérité, on ne construit pas de tels bâtiments à l’aide de croyances) et d’eux seuls, que Ramsay, en France, « détruira » avec son fantasme templier.
      http://www.fidelite-prudence.ch/origine-de-la-fm

  • 14
    Pierre Noël
    18 septembre 2024 à 14h09 / Répondre

    « L’introduction affirme que ce rituel est le plus opératif et par conséquent le plus ancien, allant même jusqu’à affirmer qu’il était pratiqué dans la Loge la plus ancienne connue au monde : la Loge de Kilwining N°0, fondée en 1598… »

    Tout cela est de la foutaise !

    • 15
      Remi
      19 septembre 2024 à 5h48 / Répondre

      🤙🤣

  • 13
    Pierre Noël
    17 septembre 2024 à 20h05 / Répondre

    # 12
    Les Loges régies par la Grande Loge d’Ecosse sont des organismes souverains à part entière, disposant d’un degré considérable de contrôle sur leurs propres affaires. Il n’existe pas de rituel écossais unique et standard, et chaque Loge régie par la Constitution maçonnique écossaise a le droit de concevoir son propre rituel si elle le souhaite. Le principe de fonctionnement est qu’un rituel de loge doit contenir les points principaux de chaque degré maçonnique et être soumis à l’examen de la Grande Loge. Les divers rituels actuellement utilisés adhèrent à ce principe, mais la marge de variation et d’élaboration est considérable, avec de nombreux ajouts intéressants.

    Les loges régies par la Constitution maçonnique écossaise ont également le droit de choisir les couleurs de leurs insignes , qui peuvent inclure une ou plusieurs couleurs ou incorporer des motifs tartan traditionnels . Les couleurs réservées aux Grandes Loges provinciales et à la Grande Loge elle-même sont le vert et l’or, bien que certaines loges plus anciennes aient également ces couleurs.
    Les Loges Maçonniques sous la Constitution Maçonnique Ecossaise offrent les trois degrés maçonniques traditionnels et le degré Mark ainsi que le rang de Maître Ancien (ou Installé).

    la GL of S a des loges dans environ 40 pays du monde (dont 2 en Belgique)

  • 12
    Stirling
    17 septembre 2024 à 13h37 / Répondre

    Le GPDG pratique le Rite écossais d’Ecosse qui semble être une  » version » de celui nommé standard qu’en est il ? Comment se nomment le ou les rites pratiqués en Ecosse, les Loges sont elles nombreuses?

  • 7
    Pierre Noël
    15 septembre 2024 à 19h06 / Répondre

    « Rite » Standard d’Ecosse, en vigueur dans ce pays bien antérieurement à 1598 !
    Hum ! C’est pas un peu excessif ?

    • 9
      pithom71
      16 septembre 2024 à 16h02 / Répondre

      Le “bien” dans la phrase “bien antérieurement à 1598 » est peut-être excessif, mais les preuves de l’existence des loges Aitchison’s Haven, St-Mary’s Chapel, St-Andrew’s, Kilwinning, Stirling, Haddington en Ecosse en 1599 sembleraient l’attester : si ces 6 loges existent en 1599 on peut penser qu’elles ne sont pas nées ex nihilo !

      • 10
        Pierre Noël
        16 septembre 2024 à 23h10 / Répondre

        Je ne parle pas des loges dont l’ancienneté est bien connue, mais du « Rite Standard » bien plus problématique !

      • 11
        Etienne Hermant
        17 septembre 2024 à 9h40 / Répondre

        Dans l’introduction du « Rite Standard d’Ecosse », il est fait référence aux traductions des FF. de la Loge Gislebertus.
        Cette introduction affirme que ce rituel est le plus opératif et par conséquent le plus ancien, allant même jusqu’à affirmer qu’il était pratiqué dans la Loge la plus ancienne connue au monde : la Loge de Kilwining N°0, fondée en 1598…
        Avez-vous trouvé trace de ce « Rite » opératif dans cette formulation même ?
        Et plus globalement, avez-vous trouvé un catéchisme d’époque qui reproduit le contenu de ce « Rite » ?
        Si ce « Rite » a été retranscrit de cette époque au 17e siècle, pensez-vous qu’il n’aurait subi aucune altération, et nous serait parvenu dans sa pureté originelle ?
        Ne pensez-vous pas qu’il s’agit plutôt d’une construction faite sur base d’éléments glanés d’une maçonnerie opérative transcendée à la manière de Clément Stretton, ce qui n’enlèverait rien à sa pertinence maçonnique, tant est que les diverses inventions dans ce domaine nous ont donné des « Rites » initiatiques de grande facture, tels les Rites Français de René Guilly ?

      • 17
        Etienne Hermant
        20 septembre 2024 à 9h56 / Répondre

        -9- Le premier catéchisme écossais est le Register House d’Edimbourg daté de 1696.

        Il est quelquefois fait état le concernant du « Rite du Mot de Maçon », tout en devant signaler que cette dénomination n’apparaît nulle part et qu’il s’agit d’une forme de maçonnerie qui, à l’époque, n’en appelle pas d’autre, ce qui devrait exclure la désignation de « Rite » qui n’apparaîtra que lorsque plusieurs maçonneries voisineront, ceci afin de pouvoir les distinguer.

        L’ en-tête du Ms indique : « Quelques questions que les maçons posent à ceux qui ont le Mot avant de les connaître »

        Il s’agit donc d’une transmission du « Mot de Maçon » qui permettra à un ouvrier d’être reconnu apte au Travail (« accomplit »), le différenciant ainsi du Cowan seulement habilité à construire des murs en pierres sèches.

        Ce « Mot » apparaît de-ci de-là vers 1630, mais c’est seulement en 1660 que ce « Mot » se présentera dans un contexte opératif (contrat d’apprentissage du « Conengate d’Edimbourg » donné à un certain John Temple).
        Les Statuts de la Loge d’Aberdeen de 1670 (sans doute plutôt 1699) font état de serments prêtés « à notre entrée lorsque nous avons reçu le bienfait du mot de maçon ».

        Ces deux apparitions tardives pourraient s’expliquer par le secret inhérent au Métier, sans qu’on en sache plus.

        Avant 1630, il n’y a pas d’indication que le « Mot » existait et les Statuts de William Schaw de 1598-99 n’en parlent pas.

        Les Minutes de la Loge Mary’s Chapel (1599-1681) montrent le fonctionnement de la Loge et éclaire l’organisation du Métier dans l’Ecosse du 17e siècle, sans la présentation d’un Rituel, pas plus que du « Mot de Maçon ».

        La question se pose donc.
        De quel Rite écossais vient ce Rite Standard d’Ecosse nommé dans cette présentation « Rite des origines » ?

        • 19
          Pierre Noël
          20 septembre 2024 à 15h03 / Répondre

          Le Rite Standard d’Ecosse est une innovation/invention française récente (1969 ?) due à quelques maçons de la GLNF, menés par l’Abbé Jean-Claude Desbrosses, maçon enthousiaste autant que meneur d’hommes. C’est une traduction, adaptée aux sensibilités locales, aux traditions bien françaises … d’un des multiples rituels (nommés Workings ou Rituals,) en usage dans les loges écossaises, mais qui jamais ne s’appellent « Rite », mot qui ne s’applique qu’à quelques systèmes de hauts-grades d’origine française. Il n’y a pas de « rite standard » (d’Ecosse) au sens français du mot en Ecosse.

  • 6
    Luciole
    15 septembre 2024 à 13h18 / Répondre

    On ne va pas chercher noise à des FF qui ouvrent une Nouvelle loge.L’important est qu’elle existe,suscite des vocations et croisse.
    Bonne chance avec ce beau Rite.

  • 5
    pithom71
    14 septembre 2024 à 12h47 / Répondre

    Mes TCF
    Nous étions 5 en décors du Standard et 2 FF du Standard avaient leurs décors de Grands Officiers Installateurs. Et nous avions malheureusement 4 absents pour causes diverses (maladie, congés, obligation prof ..)
    Tous les autres étaient des visiteurs d’autres rites et obédiences. Ce qui montre l’attrait du Rite Standard d’Ecosse.

  • 4
    Stirling
    13 septembre 2024 à 17h40 / Répondre

    Mais, ou sont les membres de cette Loge ? Il me semble ne voir que des visiteurs et des dignitaires de l’Obédience.

  • 2
    Brumaire
    13 septembre 2024 à 11h22 / Répondre

    À part le temple, je ne vois pas de décors au Standard d’Ecosse…c’est moi qui ne vois pas bien?

  • 1
    Yvan d’Alpha
    13 septembre 2024 à 7h44 / Répondre

    C’est sympathique de voir des tabliers bleus du Grand Orient en visite à la GLIF (c’est peut-être la GLMF aussi).
    Un joli rite, une obédience au travail, une loge probablement volontaire, c’est très bien parce que c’est ça la maçonnerie.

    • 3
      GépluAdministrateur
      13 septembre 2024 à 15h00 / Répondre

      Les « tabliers bleus » ne sont pas uniquement au Grand Orient. Ils sont les tabliers du Rite Français, pratiqué par de nombreuses obédiences… 🙂

      • 8
        Yvan d’Alpha
        16 septembre 2024 à 14h21 / Répondre

        MBCF tu conviendras que le bleu azur des tabliers français du GODF, qui a donné patente du rite à quelques obédiences (GLMF, GLMU, GLFF), est bien différent du bleu ciel pâle utilisé par les autres obédiences comme la GLTSO, les LNFU mais aussi toutes les loges qui pratiquent le rite français rétabli ou traditionnel ou 1801. D’où mon idée qu’un tablier « Groussier » était statistiquement plus probablement issu du GODF.
        Je me disais donc que c’était chouette que des frères GO visitent cette obédience.

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