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Géplu.
Petit clin d’oeil… Une coquille – quand même pas un lapsus calami 🙂 – nous conduit à lire dans le corps du texte le mot « orgialivre » : « Marc définit ses orgialivres comme un concept que j’ai inventé ». Nul doute que les anti-maçons vont y voir la confirmation de certains de leurs fantasmes… 😉
Une Beauté est que le support originel n’est pas détruit : le livre peut être rouvert, relu, refermé. L’oeuvre est la mise en volume du volume qui s’ignorait en cette occupation de l’espace. Cela nous parle.
@Boris (amateur désintéressé et apparemment connaisseur 😉 : c’est effectivement cette manière de procéder qui m’importe. Une façon de pérenniser le support initial grâce à une transposition vers une nouvelle œuvre – personnelle, originale et à son tour durable – qui se veut l’expression du contenu symbolique de l’ouvrage de départ.
La patience, vertu cardinale maconnique, trouve içi sa parfaite illustration, bravo Marc
@Chicon : merci, oui c’est tout a fait cela.
« Patience dans les épreuves » dit-on régulièrement autour de moi. A travers mes créations, j’avoue qu’il m’arrive de penser qu’il n’en est pas de plus belles que celles librement consenties (et appréciées par un public désintéressé 😉