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Géplu.
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1717 est, j’en conviens bien, une date aujourd’hui symbolique. L’esprit de notre journée d’étude est le suivant. On ne va pas (re)faire – forcement moins bien que les Anglais – une histoire de la création de la Première Grande Loge. L’idée est de regarder l’événement du côté français et de tenter de cerner le contexte et les influences qui vont s’exercer lors de l’implantation de la Maçonnerie en France dans les années 1720. La première conférence sur l’image de l’Angleterre en France à cette époque me paraît, notamment, novatrice et passionnante.
« Remarquons simplement que la fondation de la Première Grande Loge répond sans doute à des besoins très divers de la société anglaise de cette époque. Or il semble, sans pouvoir l’affirmer définitivement puisque nous ne disposons pas d’archives, que la création de la Première Grande Loge, en 1717, répondait essentiellement à des préoccupations conviviales, philanthropiques et charitables. »
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Lorsque je lis ceci, je me dis que la LNF est dans le spéculatif pure au sens le plus négatif du termes,
la LNF, par un battage médiatique sans précédent et le soutien très intéressé de la GLUA, n’est que et unique que dans l’interprétation.
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Mais après tout pourquoi pas,
sauf qu’ignorer certains phénomènes comme le sauvetage des codex dans leurs versions originales et les conséquences que ceci entraina du point de vue, non particulièrement de la perte progressive de pouvoir du Vatican, mais bien de la chrétienté en générale, ignorer la véracité de certains appels à la réalité scientifique, ignorer les particularités de la fonction d’architecte, bien plus significatives que les us et coutumes des tailleurs de pierres, dédaigner la nature exacte des activités de Isaac Newton, certes jamais initié, mais en avait-il besoin ? Ceci n’aurait-il fait doublon ?
En résumé, l’interprétation de la LNF relève d’une pure subjectivité qui ne tient aucun compte du moindre cadre initiatique dans lequel exerçaient les intervenants dont elle se fait forte de définir la supposée réalité de leurs actes, de sorte que les travaux de la LNF ne valent que ce qu’ils valent et le battage médiatique qu’elle entretient me parait être, pour toutes ces raisons, un peu exagéré.
De près ou de loin, toutes les obédiences devraient se sentir concernées par cet anniversaire. Puisqu’elles ont toutes vocation à « rassembler ce qui est épars », il est pour le moins regrettable qu’elles le fassent en ordre dispersé.
Est-ce un effet de l’adage « faites ce que je dis, pas ce que je fais » ?
Roger Dachez va refaire le coup de la création d’une société de secours mutuel. A-t-on besoin de rites, de mythes, de symboles pour une caisse de secours mutuel ?
Comment des instituts aussi sérieux peuvent-ils encore parler de « tricentenaire de la naissance de la franc-maçonnerie » ?