GLDF : un licenciement à 1 million d’Euros ?

Aucune suite dans ce dossier, bien au contraire les autorités Françaises taisent un crime ainsi que des piratages numériques depuis 7 ans maintenant : impossible d’obtenir un statut de lanceur d’alerte bien qu’il s’agisse d’un manquement aux engagements internationaux de la France.

Licenciement a un million d’euros demandes, cela augure bien du chiffre d’affaires des grandes loges. On serait surpris des fonds en mains des associations et de leur utilisation. J’aurais aime etre GM , c’est raté.

J’en pense que vous avez raison: la GLNF aurait pu construire une maison de retraite complete tous les cinq ans avec une partie des fonds collectes par la seule solidarite. Bref, ne sortons pas des cadavres des placards,mais vous avez bigrememt raison,cela fait des sommes importantes pour les grandes GL

Je me permets de suggérer à notre Frère « Aurez » d’adhérer à ou de créer une loge indépendante, de celles que l’on qualifie parfois de « libre », ou de « sauvage ». Il échappera ainsi au douloureux questionnement qui gâche manifestement son bonheur d’être maçon. Pas d’obédience, pas de question ni de soupçon sur les dépenses de ces instances…
Notre Frère, comme quelques autres que l’on croise ici ou là, méconnaît regrettablement le rôle des obédiences depuis la première Grande Loge , celle fondée à Londres en 1717. L’objet initial était la mise en commun des moyens de solidarité entre les Frères, dont beaucoup avaient été ruinés par les querelles religieuses et politiques qui avaient agité l’Angleterre et une bonne partie de l’Europe continentale quelques années auparavant. Ce rôle persiste aujourd’hui, dans un contexte différent, mais avec des institutions telles que la Poignée de mains, l’Orphelinat maçonnique, Clarté, …
Mais les obédiences font bien d’autres choses : elles proposent des locaux qu’elles construisent, aménagent, entretiennent, assurent; elles fixent les rituels des divers degrés, permettant ainsi aux Frères qui voyagent de travailler selon un mode identique; elles signent entre elles des traités et des conventions permettant ces échanges, Les obédiences organisent le cadre qui permet aux Loges de fonctionner dans la règle maçonnique comme dans la règle administratif.
Fédération de loges ou de rites, l’obédience organise, par sa Constitution et ses Règlements généraux, le fonctionnement des loges , et en partie les règles de leur démocratie interne, avec l’élection des officiers , les conditions de passages aux différents degrés, etc. Par nature, l’obédience permet d’éviter les dérives sectaires. La loge est la seule instance qui peut initier, qui peut transmettre.. L’obédience lui fournit le cadre pour le faire, au-delà de la seule logistique.
Quant au budget consacré à ce que notre Frère, après le Frère « Condorcet », appelle le « paraître », il est de quelques dizaines de milliers d’euros par an, comparé aux millions d’euros consacrés chaque année à l’immobilier, acquisitions, aménagement ou entretien. Le budget de la GLDF, discuté et voté par les députés, donc les représentants des loges, s’efforce d’équilibrer les dépenses et les recettes. Celles-ci, essentiellement les capitations, sont de l’ordre de 8 M€. Le budget du Grand Maître est d’à peine 0.75 % de cette somme, celui de l’ ensemble des missions dévolues aux Conseillers fédéraux inférieur à 4 %.
Alors de grâce, cessez de fantasmer, informez-vous ! Tous ces éléments figurent dans le compte-rendu de la Tenue de Grande Loge et du Convent, que chaque Loge reçoit en plusieurs exemplaires. Il n’y a qu’à faire comme moi : les lire, avant d’écrire…

Mais au fait a quoi sert donc une Obédience sinon a encaisser des cotisations importantes (faites le calcul annuel €xnombre) alors que nombre de Frères et il y en a et en aura de plus en plus sont dans la difficulté.
Ou va cet argent thesorisé année apres année, pas Côme en Angleterre en Hôpitaux, Hospices, Horphelinat, Maison de Retraite, Écoles, Université etc etc
Nos vieux Maçons ou vont ils ? Dans le silence, l’obscurité et l’oublie ou vont ils eux qui ont constitué ces cagnottes ?
Machines à paraître les obédiences devraient elles être destiné à disparaître ?
Si tous les Maçons se donnaient la main ! Sans obédiences, juridiction, mais en toute simplicité pour donner l’exemple d’un monde meilleur.
QU’EN PENSEZ VOUS ?

Ah que la critique est facile ! Et comme il est gratifiant de se lire sur un blog en ayant réussi ce qu’on pense être un joli coup de désinformation et de calomnie ! Il m’arrive de me demander si ces donneurs de leçons et autres distributeurs de bons et de mauvais points se souviennent de leurs obligations de Maçons et s’ils les ont jamais vraiment respectées…
Hier soir rue Puteaux, le nouveau GM de la GLDF a d’emblée indiqué que son intervention s’adresserait avant tout, voire exclusivement, aux non-Maçons, et que pour un temps, nous étions tous des profanes, en expliquant que ce terme n’a rien de péjoratif et qu’il désigne simplement ceux qui sont devant le Temple et n’y ont pas encore pénétré. Son propos était de démythifier la Franc-Maçonnerie, de montrer qu’elle a pour but d’aider ceux et celles qui s’y engagent à se construire, et, par-là, d’aider à construire une humanité meilleure, plus juste, plus ouverte à l’autre. Il l’a fait avec des mots simples et justes, qui, selon les avis de nombreux profanes qui se sont attardés dans le hall ou dans la rue après la fin de la conférence, ont atteint leur objectif : montrer à des profanes que la GL propose un cheminement humaniste et spirituel, au sein d’un paysage maçonnique français qui offre à chacune et chacun la possibilité de maçonner à sa guise.
Quant à l’ouverture vers les jeunes, le GM Philippe Charuel en a expliqué les raisons : ils sont l’avenir de notre société, et ils manquent cruellement de repères, ils se plaignent de la crise des valeurs qui caractérise le monde dans lequel ils doivent trouver leur place. N’est-il pas du devoir des Maçons et ds Maçonnes que de les aider à structurer librement leur pensée, à juger par eux-mêmes, à fortifier leurs valeurs et les vertus qui les expriment plutôt que de céder aux dérives omniprésentes autour de nous ?
N’est-ce pas bien plus un projet pour une Grande Loge responsable que celui qui consiste à recruter des hommes ou des femmes d’influence dans les sphères politiciennes ou des entrepreneurs soucieux de développer leurs affaires ?
De nombreux profanes présents hier soir ont, je le sais, immédiatement fait part de leur intérêt. C’est exactement à cela que répondent ces conférences publiques au début et à la fin de Tenues d’Eté de la Grande Loge de France.
Alors, au-delà de la médisance de certains et des regrets de quelques autres, ne voyons que l’essentiel : notre nouveau Grand Maître a, comme on dit, « fait le job », sans chercher à donner une image, sans pontifier. Il a parlé un langage de vérité, il a parlé, c’est lui-même qui l’a dit, au nom de sa vérité. Pour des initiés, je crois bien que c’est la seule chose qui importe, non ?

Décidément, pendant que certains se gaussent de la tenue vestimentaire de FF pendant les tenues estivales, dans le même temps, d’autres parfois les mêmes faillissent à leurs obligations de gestionnaire au mieux des intérêts, et des deniers de nos FF, dont certains pourtant connaissent de grandes difficultés économiques. Mais voilà, on confond le paraître, la frime, la recherche de la reconnaissance, ou de la régularité, a une gestion exemplaire et en bon père de famille qui est pourtant ce que l’on réclame à minima de nos instances obédientielle élues.
Tout cela est la marque de la déliquescence de la GLDF.
A vouloir faire dans le paraître, on en oublie l’essentiel de la mission qui est de gérer et de prévoir. Quant aux loges, c’est à elles que revient la mission de l’initiatique, voire de faire des planches sociétales si elles le souhaitent, sans recevoir des ordres et des diktats de dirigeants d’obédiences dont on ne réclame qu’une chose : une bonne gestion, de bonnes relations avec les autres obédiences, et non une gestion à la petite semaine, voire une agressivité à l’encontre de certaines obédiences ou bien encore à l’encontre d’autres institutions comme l’IMF ou la journée du livre .
Certes, et concernant cette affaire, on ne dispose pas du résultat des prud’hommes, mais le montant de la somme demandée est telle qu’on peut se demander si la contrepartie n’est pas le prix du silence de quelques turpitudes à payer.

Patrons de tous les pays, … unissez-vous !

On a l’exemple de la judiciarisation des procedures de licenciement. C’est un phenomene inspire des USA et qui se generalise depuis une vingtaine d’années chez nous. Les Prudhommes, c’est facile, c’est pas cher et ca peut rapporter gros, on aurait tord de s’en priver.
Le petit, le pauvre , est le salarie. Le gros, le riche, est le patron. IL y a donc un prejuge au detriment du patron dans les esprits republicains. Mais beaucoup de patrons ne sont pas riches.
Il ne faut pas s’etonner de la precarisation de l’emploi qui s’est generalisee. Le salarie est devenu un danger un ennemi potentiel.
Les francais seraient surpris des effets de la precarisation en Chine et a Hong-Kong, au niveau des salaires.
Mais les francais seront toujours les francais.

La première grande intervention publique du nouveau GM de la GLDF s’est déroulée hier au siège de l’obédience. Il s’agissait d’une tenue blanche ouverte organisée depuis 30 ans par des loges parisiennes à l’occasion des tenues d’été. Avec bientôt 40 ans de maison, j’ai été déçu de la médiocrité des propos tenus. A n’en pas douter, ce nouveau millésime sera plutôt fade et sans saveur. Après le danseur, l’ex VRP n’est pas prêt à redorer la médaille d’une obédience qui peine à communiquer par elle même et à maintenir la posture du ni tout social ni tout religieux. Quant aux errements de gestion de l’ancienne équipe, ce n’est que la manifestation des égos surdimensionnés de ceux qui ne vivent que dans le paraître de leurs fonctions et ils sont bien à plaindre.

Cet article paraît bien léger :

– demander 1 million d’euros au tribunal et les obtenir sont deux choses bien différentes.

– les honoraires d’un cabinet de recrutement sont habituellement un pourcentage de la rémunération brute annuelle du candidat choisi

– le montant d’une transaction résulte d’une négociation entre les avocats des deux parties, il est fonction de l’ancienneté, du préjudice, des rémunérations antérieures notamment…

Alors qu’en est-il, avant de se prononcer de façon si péremptoire ?

N’oublions pas aussi le salon du livre du Marc Henri qui n’a clairement pas fait de bénéf, l’échec cuisant de la CMF, les déplacements de l’ancien GM en plein été à Maurice et à la Réunion (pour faire le tour des loges), et j’en passe…